Skip to main content

Étiquette : Glucides

Risotto aux asperges

La saison des asperges démarre !

L’asperge apporte ses propriétés alcalines et minérales en s’associant à un féculent, sous la forme d’un risotto. Ce repas est une excellente source de glucides, qui représentent près de 65% de l’apport énergétique. Pour un apport protéique, complétez avec une protéine animale (des oeufs mollets se marieront à merveille) ou des protéines de soja texturées, qui se mêleront également parfaitement à ce plat.

Pour les personnes qui suivent une alimentation « IG bas » : le riz à risotto a un index glycémique plutôt élevé.

La cuisson du riz dans l’eau de cuisson des asperges (ou du bocal) lui permet de s’imbiber du goût d’asperge. Les asperges vertes donneront une saveur plus prononcée, les asperges blanches une saveur plus raffinée. Pour les inconditionnels de fromage, diminuez la quantité d’huile, et saupoudrez d’un peu de parmesan.

Ingrédients (2 personnes)

  • 150g riz (rond ou spécial risotto)
  • 200g d’asperges cuites (fraîches ou boite d’asperges de 330g/ 185 à 200g poids égoutté)
  • 240ml jus de cuisson d’asperge / Eau
  • 1 oignon moyen
  • 2 càs huile d’olive
  • Sel, poivre

Préparation

  • Dans une poêle anti-adhésive, faîtes revenir l’oignon émincé dans l’huile d’olive, puis versez le riz, mélangez pour qu’il s’imbibe et devienne translucide. Versez l’eau de cuisson des asperges (ou l’eau de la boite) pour couvrir le riz. Faites bouillir doucement (sans couvercle). Mélangez et ajoutez de l’eau (de cuisson ou du bocal) de temps en temps, jusqu’à ce que le riz soit cuit et prenne le goût d’asperge.
  • Coupez les asperges en tronçons, et mélangez le tout. Réservez les pointes d’asperges pour la présentation.

Merci IRMBS

#Hiver : comment avoir chaud grâce à l’alimentation ?

En hiver, la nature nous offre des aliments qui répondent à cette énergie saisonnière si particulière. Foncer sur les plats gras peut être une erreur, même si 1g de lipides va nous apporter 9 kcal par gramme, contre 4 kcal pour les glucides. Et les glucides, justement, parlons-en ! Même si la consommation d’aliments riches en sucres ne doit pas s’emballer, les évincer à ce moment de l’année n’est pas une bonne idée ! C’est oublier que notre corps est gourmand de glucose, notre carburant cellulaire. L’hiver, il appréciera des sucres plus complexes sous la forme de céréales, légumineuses, plus riches en amidon, et certains légumes. Panais, patate douce, pomme de terre, carotte et légumes racines vont développer tout leur potentiel réchauffant. Quant aux céréales, misez sur le sarrasin et l’avoine, considérés comme les plus énergétiques. Plus longue et plus douce, la digestion de tous ces aliments va ainsi renforcer la chaleur organique interne.

Le mode de préparation alimentaire revêt aussi une importance. Manger froid quand il fait froid perturbe la digestion. Certains peuvent même ressentir des lourdeurs d’estomac, une fatigue postprandiale et voir leurs selles se ramollir. Car pendant que l’organisme voit ses dépenses métaboliques de base augmenter pour lutter contre le froid, il n’est pas concentré sur sa fonction digestive, qui se passe moins bien. Il faut au contraire l’aider en lui fournissant des plats chauds.

Les soupes vont ainsi entretenir la sensation de chaleur. Mais les cuissons longues des pot-au-feu ou ragoûts sont aussi à prioriser car elles agissent comme une prédigestion, allégeant le travail du système digestif. Et avec des aromates soufrés (oignons, ail ou échalotes), on accentue l’effet stimulant. Autre astuce culinaire ? Saupoudrer ses plats d’épices (clous de girofle, cumin, cannelle ou même graines de moutarde) pour activer la circulation sanguine. Toutefois, la cuisine épicée ne convient pas à tous. Si vous relevez d’une typologie neuro-arthritique, c’est-à-dire un profil mince et frileux, elles pourront exprimer toute leur puissance calorifique. En revanche, si vous êtes un bon vivant un peu enrobé et qui n’a jamais froid, votre système digestif les appréciera moins bien. Il faut savoir aussi s’écouter !

Suivre un régime ou faire une détox en hiver, ce n’est pas de saison. Notre organisme réclame alors de la douceur et n’est juste pas capable de relever ce genre de challenge qui ne va pas manquer d’ouvrir la porte aux pathologies ORL. Pour autant, voici quelques conseils pour une alimentation réchauffante qui ne fera pas grimper les calories.

  • Évitez les plats préparés ainsi que les douceurs industrielles.
  • Au cours d’un même repas, choisissez entre la consommation de céréales ou de légumineuses. Un morceau de pain compte pour une céréale.
  • Vérifiez que cette même portion de légu­mineuses ou de céréales ne dépasse pas le tiers de votre assiette.
  • En décembre, consommez les plats à base de céréales ou légumineuses avec des légumes plutôt qu’avec de la viande.
  • Prenez le temps de savourer les douceurs chocolatées (ou non) qui accompagnent la période des fêtes de fin d’année. Et privilégiez le fait-maison ou les produits biologiques de qualité. Toujours avec parcimonie…

Recette d’un miel « coup de chaud »

Donner un coup de boost à notre système immunitaire tout en nous réchauffant, c’est l’objet de la recette du miel concocté par Loïc Ternisien et tiré de son ouvrage Naturopathie, le guide saison par saison (éd. Flammarion).

Ingrédients : Le jus d’1 citron • 2 c. à c. de curcuma • ½ c. à c. de piment de Cayenne • 1 c. à c. de gingembre haché • 2 c.à s. de miel cru • 1 gousse d’ail écrasée • 30 gouttes de teinture mère d’échinacée.

Préparation : Mélangez tous les ingrédients dans un petit bol. Couvrez-le et laissez macérer au réfrigérateur.

Utilisation : Ajoutez-en 2 c. à c. dans votre thé ou votre tisane du matin.

Merci PlantesetSanté

Couscous céto aux graines de chanvre et légumes

Voici une recette à la fois végétarienne et cétogène, c’est à dire qu’elle est pauvre en glucides. Parfaite pour un dîner !

Préparation : 15 min
Cuisson : 1h30

Ingrédients pour 6 personnes :

  • 1 chou-fleur frais
  • 100 g de graines de chanvre
  • 1 boîte de concentré de tomate
  • 1 chou pommé blanc
  • 6 petites courgettes
  • 3 navets
  • 3 c. à s. de ras el-hanout rouge
  • 2 pistils de safran
  • 1 c. à s. de cannelle
  • 2 bouillons de légumes bio en cube
  • 2 c. à s. de raisins secs
  • 165 ml d’huile d’olive
  • sel et poivre

Préparation

Couper le chou pommé blanc en 6 tranches dans le sens de la hauteur, trancher les navets en deux et couper les courgettes en gros dés sans les peler. Couper les fleurettes du chou-fleur et les mixer de manière à obtenir une semoule. Incorporer ensuite les graines de chanvre.Dans une cocotte, verser 110 ml d’huile et saisir séparément, à feu moyen, les navets et les courgettes. Réserver séparément. Verser ensuite 2 l d’eau dans la cocotte. Ajouter le concentré de tomate, les bouillons de légumes, 2 c. à s. de ras el-hanout, le safran et la cannelle puis les navets et le chou et poursuivre la cuisson toujours sur feu doux durant 20 minutes. Ajouter les courgettes et continuer la cuisson toujours sur feu doux durant 10 minutes.Dans un saladier, verser la semoule de chou-fleur et les graines de chanvre, 1 c. à s. de ras el-hanout rouge, les raisins secs, saler, poivrer et mélanger. Enrober cette semoule avec 55 ml d’huile. La faire cuire 10 minutes à la vapeur.Dresser en versant dans un grand plat la semoule de chou-fleur, disposer de part et d’autre les légumes et verser en fin filet de bouillon de cuisson.Placer le reste du bouillon de cuisson dans une saucière. Chacun s’en servira au moment du repas. Placer également un tube d’harissa sur la table pour ceux qui aiment le goût du piment.

Source