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Étiquette : Hiver

Buddha Bowl vitaminé

Allez, on se fait plaisir avec ce buddha bowl qui ravira petits et grands en un tournemain ???

Ingrédients (1 bol)

  • 60 g de petit épeautre précuit
  • ¼ chou-rave
  • 1 belle carotte
  • 25 g de pistaches décortiquées non salées
  • 25 tiges de ciboulette fraîche
  • 1 c. à s. de baies de goji
  • ½ petite orange
  • 1 petit citron
  • Bouillon de légumes (maison ou reconstitué à base de cube)
  • 1 c. à c. de gingembre râpé
  • Huile d’olive fruitée
  • Huile de colza
  • Tamari
  • Levure maltée
  • Poivre du moulin 4 baies
  • 1 poignée de graines germées (facultatif)

Préparation

Réhydrater les baies de goji dans le jus du citron.

Plonger le petit épeautre précuit dans 3 fois son volume de bouillon de légumes. Porter doucement à ébullition et laisser cuire à feu doux et à couvert pendant 20-25 minutes.

Pendant ce temps, préparer le pesto de pistaches : mixer 20 tiges de ciboulette avec les pistaches, ½ cuillère à café de zeste de citron, 1 cuillère à café de levure maltée et un tour de moulin à poivre, du tamari, en ajoutant petit à petit l’huile d’olive jusqu’à l’obtention de la texture souhaitée.

Râper avec la râpe à gros trous le chou-rave et la carotte, y incorporer les tranches d’orange coupées en deux, le gingembre, les baies de goji égouttées, la ciboulette restante finement ciselée et un peu de levure maltée. Arroser avec 1 cuillère à soupe d’huile de colza. Bien mélanger.

Déposer le petit épeautre tiède au fond du bol, le saupoudrer de levure maltée, ajouter les crudités, napper de pesto aux pistaches et terminer par les graines germées.

A noter !
Pour une version sans gluten, remplacer le petit épeautre par du quinoa et la levure maltée par du gomasio.

Merci LaNutrition.fr

Velouté de panais, topinambours et noisettes

Comment faire manger des légumes anciens à vos chères têtes blondes … et aux autres ? En les intégrant dans une recette de soupe réconfortante et gourmande à souhait pardi ! Ce plat est riche en fibres, en minéraux et en antioxydants ???

Ingrédients (4 personnes)

  • 500g de topinambours
  • 400g de panais
  • 1 oignon
  • 1 cube de bouillon de légumes bio
  • 10cl de crème de soja (ou autre crème)
  • 60g de noisettes grossièrement concassées
  • Huile d’olive
  • Poivre et sel du moulin

Épluchez l’oignon, les topinambours et les panais. Émincez l’oignon, coupez les topinambours et le panais en petits cubes. En coupant finement les légumes, cela vous permettra de réduire le temps de cuisson.

Dans un faitout, faites revenir l’oignon avec un peu d’huile d’olive jusqu’à ce qu’il soit translucide. Ajoutez ensuite le topinambour et le panais et faites revenir pendant encore 2-3 minutes. Versez 75cl d’eau avec le cube de bouillon. Portez à ébullition puis réduisez le feu et poursuivez la cuisson pendant environ 20 minutes. Contrôlez la cuisson des légumes à l’aide de la pointe d’un couteau.

Pendant ce temps, faites griller à sec les noisettes dans une poêle. Arrêtez la cuisson lorsque vous sentez une délicieuse odeur de grillé.

Mixez la soupe à l’aide d’un mixeur plongeant, ajoutez la crème de soja. Rectifiez l’assaisonnement selon votre goût et allongez avec un peu d’eau selon la consistance souhaitée.

Ajoutez les noisettes grillées sur votre velouté au moment de servir puis dégustez ?

Merci Yuka

#Hiver : comment avoir chaud grâce à l’alimentation ?

En hiver, la nature nous offre des aliments qui répondent à cette énergie saisonnière si particulière. Foncer sur les plats gras peut être une erreur, même si 1g de lipides va nous apporter 9 kcal par gramme, contre 4 kcal pour les glucides. Et les glucides, justement, parlons-en ! Même si la consommation d’aliments riches en sucres ne doit pas s’emballer, les évincer à ce moment de l’année n’est pas une bonne idée ! C’est oublier que notre corps est gourmand de glucose, notre carburant cellulaire. L’hiver, il appréciera des sucres plus complexes sous la forme de céréales, légumineuses, plus riches en amidon, et certains légumes. Panais, patate douce, pomme de terre, carotte et légumes racines vont développer tout leur potentiel réchauffant. Quant aux céréales, misez sur le sarrasin et l’avoine, considérés comme les plus énergétiques. Plus longue et plus douce, la digestion de tous ces aliments va ainsi renforcer la chaleur organique interne.

Le mode de préparation alimentaire revêt aussi une importance. Manger froid quand il fait froid perturbe la digestion. Certains peuvent même ressentir des lourdeurs d’estomac, une fatigue postprandiale et voir leurs selles se ramollir. Car pendant que l’organisme voit ses dépenses métaboliques de base augmenter pour lutter contre le froid, il n’est pas concentré sur sa fonction digestive, qui se passe moins bien. Il faut au contraire l’aider en lui fournissant des plats chauds.

Les soupes vont ainsi entretenir la sensation de chaleur. Mais les cuissons longues des pot-au-feu ou ragoûts sont aussi à prioriser car elles agissent comme une prédigestion, allégeant le travail du système digestif. Et avec des aromates soufrés (oignons, ail ou échalotes), on accentue l’effet stimulant. Autre astuce culinaire ? Saupoudrer ses plats d’épices (clous de girofle, cumin, cannelle ou même graines de moutarde) pour activer la circulation sanguine. Toutefois, la cuisine épicée ne convient pas à tous. Si vous relevez d’une typologie neuro-arthritique, c’est-à-dire un profil mince et frileux, elles pourront exprimer toute leur puissance calorifique. En revanche, si vous êtes un bon vivant un peu enrobé et qui n’a jamais froid, votre système digestif les appréciera moins bien. Il faut savoir aussi s’écouter !

Suivre un régime ou faire une détox en hiver, ce n’est pas de saison. Notre organisme réclame alors de la douceur et n’est juste pas capable de relever ce genre de challenge qui ne va pas manquer d’ouvrir la porte aux pathologies ORL. Pour autant, voici quelques conseils pour une alimentation réchauffante qui ne fera pas grimper les calories.

  • Évitez les plats préparés ainsi que les douceurs industrielles.
  • Au cours d’un même repas, choisissez entre la consommation de céréales ou de légumineuses. Un morceau de pain compte pour une céréale.
  • Vérifiez que cette même portion de légu­mineuses ou de céréales ne dépasse pas le tiers de votre assiette.
  • En décembre, consommez les plats à base de céréales ou légumineuses avec des légumes plutôt qu’avec de la viande.
  • Prenez le temps de savourer les douceurs chocolatées (ou non) qui accompagnent la période des fêtes de fin d’année. Et privilégiez le fait-maison ou les produits biologiques de qualité. Toujours avec parcimonie…

Recette d’un miel « coup de chaud »

Donner un coup de boost à notre système immunitaire tout en nous réchauffant, c’est l’objet de la recette du miel concocté par Loïc Ternisien et tiré de son ouvrage Naturopathie, le guide saison par saison (éd. Flammarion).

Ingrédients : Le jus d’1 citron • 2 c. à c. de curcuma • ½ c. à c. de piment de Cayenne • 1 c. à c. de gingembre haché • 2 c.à s. de miel cru • 1 gousse d’ail écrasée • 30 gouttes de teinture mère d’échinacée.

Préparation : Mélangez tous les ingrédients dans un petit bol. Couvrez-le et laissez macérer au réfrigérateur.

Utilisation : Ajoutez-en 2 c. à c. dans votre thé ou votre tisane du matin.

Merci PlantesetSanté

Lasagnes de polenta veggie ?

Quoi de mieux qu’un bon plat réconfortant le dimanche soir ? On a remplacé ici les traditionnelles pâtes de blé par de la polenta, pour en faire une version sans gluten, qui plus est très sage puisque sans béchamel. Ajoutez autant de légumes que vous le souhaitez. A vous de jouer !

Ingrédients

  • 250 g de polenta (semoule de maïs)
  • 1 l d’eau
  • 300 g de mozzarella râpé
  • 300 g de coulis de tomate
  • 200 g de pulpe de tomate
  • ½ oignon
  • 1 gousse d’ail
  • 2 c. à s. d’huile d’olive vierge extra
  • 1 pincée d’origan
  • Sel et poivre

Préparation

Faites bouillir 1 l d’eau salée, puis versez lentement la semoule en remuant sur feu vif pendant 3 minutes, jusqu’à ce qu’elle épaississe. Ajoutez 1 cuillère d’huile d’olive et remuez pour obtenir une consistance crémeuse. Réservez.

Épluchez puis ciselez l’oignon et l’ail. Lavez et coupez les tomates en dés. Dans un poêle, faites revenir l’oignon, l’ail et les tomates avec l’huile d’olive, jusqu’à ce que l’oignon soit translucide. Ajoutez la pulpe et le coulis de tomate, puis remuez. Assaisonnez avec l’origan, le sel et le poivre.

Préchauffez le four à 180 °C. Dans un plat à four, étalez une couche de polenta d’environ 0,5 cm, puis ajoutez une couche de sauce tomate et parsemez de fromage. Continuez à alterner les couches jusqu’à épuisement des ingrédients, en terminant par du fromage.

Enfournez environ 10 minutes jusqu’à ce que le fromage gratine.

Merci LaNutrition.fr

Gratin végétalien de patates douces

Dimanche soir … il fait froid, j’ai un reste de patates douces … et si je faisais un gratin ??

NB : vous avez le droit de rajouter du fromage en gratin, mais je vous invite vraiment à tester le mix de la recette à base de noix de cajou ???

Ingrédients

• 4 patates douces (environ 700 g)
• 1 oignon et 2 gousses d’ail
• 1 c. à soupe d’huile végétale
• 1/4 c. à café de cannelle en poudre
• 40g noix de cajou
• 50g levure alimentaire (type levure de bière)
• 170ml lait de coco non sucré
• 250ml boisson végétale (type soja) non sucrée
• 3/4 de c. à café d’origan séché
• Sel, poivre

Avant de commencer

Tremper les noix 8 heures, pour obtenir une pâte crémeuse.

Recette

1. Préchauffer le four à 200°C. Couper l’oignon en rondelles; émincer l’ail; éplucher les patates puis les couper en tranches.
2. Faire revenir l’oignon et l’ail dans l’huile. Ajouter la cannelle, saler et poivrer au goût. Réserver.
3. Mélanger les noix, la levure et quelques cuillerées de lait de coco dans un robot environ 3 minutes.
4. Préparer le gratin dans une assiette allant au four, en disposant les ingrédients dans l’ordre suivant: patates, mélange d’oignon, crème de noix. Répéter les couches si nécessaire. Dans un bol, mélanger le lait de coco restant avec la boisson végétale de soja et l’origan, puis verser le tout sur le gratin.
5. Cuire au four jusqu’à ce que ce soit bien doré, environ 30-35 minutes.
6. Laisser reposer le gratin une dizaine de minutes. Servir avec une salade verte ?

Merci Plantes et Santé

Recette du Castagnaccio : gâteau italien à la châtaigne ?

Gâteau italien originaire de Toscane, le Castagnaccio est idéal pour reprendre des forces et se réchauffer pendant les longs mois d’automne et d’hiver.
Sans gluten et vegan, son index glycémique est en plus très modéré pour un gâteau !

Ingrédients

  • 350 g de farine de châtaigne
  • 500 ml d’eau
  • 50 g de raisins secs (on peut aussi mettre des figues)
  • 80 g de pignons de pin (ou noix de cajou si vous préférez)
  • 4 noix
  • 1 branche de romarin
  • 15 g de sucre complet (facultatif si vous mettez les raisins secs)
  • 4 c. à s. d’huile d’olive vierge extra bio
  • Une pincée de sel (facultatif)

Préparation

Préchauffer le four à 180 °C.

Réhydrater les raisins secs dans un bol avec un peu d’eau tiède. 

Tamiser la farine de châtaigne et la mélanger avec un peu de sel, le sucre et 3 c. à s. d’huile. Puis ajouter de l’eau petit à petit jusqu’à ce que la pâte ait une consistance homogène.

Ajouter un peu d’eau froide un peu à la fois et travailler au fouet jusqu’à obtenir une pâte pas trop épaisse et homogène. Ajouter les pignons de pin, les noix écrasées et les raisins secs, égouttés et séchés. 

Versez le mélange dans un moule à cake graissé avec le reste de l’huile dans lequel vous avez préalablement placé le brin de romarin, et laissez-le cuire pendant 45 minutes. 

Le gâteau sera prêt lorsqu’il aura séché et qu’une croûte se sera formée à la surface. Saupoudrer d’autres pignons de pin et d’une branche de romarin avant de servir.

Merci LaNutrition.fr

Soupe potimarron et châtaigne ?

Sous la recette : des conseils pour préparer les châtaignes que vous avez ramassées en forêt ?

Ingrédients (4 personnes)

  • 1 potimarron
  • 100 g de châtaignes cuites
  • 1 oignon
  • 1 gousse d’ail
  • 2 c. à soupe d’huile
  • Sel
  • Poivre

Instructions

Pelez et épépinez le potimarron. Coupez la chair en morceaux.

Pelez et émincez l’oignon et l’ail.

Faites chauffer l’huile dans une  grande casserole et faites revenir l’oignon et l’ail. Ajoutez le potimarron et laissez dorer quelques minutes.

Ajoutez les châtaignes et couvrez d’eau à hauteur. Salez, poivrez et laissez cuire 30 minutes.

Prélevez quelques châtaignes avant de mixer.

Servez bien chaud avec quelques châtaignes émiettées.

Comment préparer les châtaignes ramassées en forêt : plongez-les 1 heure dans de l’eau afin d’attendrir la peau et de retirer celles qui ne sont pas bonnes (elles flottent). Incisez la peau en croix sur la partie bombée et plongez les châtaignes dans de l’eau bouillante pendant 15 minutes. Pelez-les complètements tant qu’elles sont encore chaudes en veillant à retirer également la petite peau brune et duveteuse. Vous pouvez maintenant passer à l’étape de la réalisation de la soupe.

Comment reconnaître les marrons des châtaignes lors de vos balades en forêt ? La bogue du marron est en général verte surmontée de tout petits pics très durs et espacés. Celle de la châtaigne est marron surmontée d’une multitude d’épines fines, plus souples et plus longues, formant comme une chevelure.

Une fois la bogue enlevée, les fruits n’ont pas non plus les mêmes aspects. Le marron est tout rond et tout lisse. La châtaigne est plutôt en forme de goutte légèrement aplatie.

Si vous avez un doute ou que tout simplement, vous n’avez pas de forêt à portée de pied, vous pouvez utiliser des châtaignes en bocaux ?

Merci MonQuotidienAutrement

Velouté de quinoa à l’ail

Voici une bonne manière, équilibrée, de se réchauffer ? A servir au dîner, accompagné d’une portion de légumes (crus ou cuits).

Ingrédients pour 6 personnes

  • 3 gousses d’ail,
  • Quelques branches de persil,
  • 80 g de graines de quinoa,
  • ½ litre de lait d’amande
  • ½ litre d’eau
  • 4 c. à soupe d’huile d’olive,
  • 1 bonne pincée de muscade en poudre,
  • Sel complet,
  • Poivre noir au moulin.

Préparation

Peler et écraser l’ail. Chauffer l’huile dans une casserole. Ajouter l’ail et le laisser fondre pendant 5 minutes.

Dés que son parfum se dégage, ajouter l’eau, le lait d’amande, le sel, le poivre et la muscade.

Verser le quinoa en pluie et mélanger.

Porter à ébullition, baisser le feu puis laisser mijoter 20 minutes en remuant souvent.

Pendant ce temps, rincer et sécher le persil puis le ciseler.
 Mixer la soupe, rectifier l’assaisonnement.

Servir parsemé de persil ciselé.

Merci LaNutrition.fr

https://www.proxibienetre.fr

Tout savoir sur la noix et comment la cuisiner

La noix se révèle très protectrice, surtout lorsqu’elle est associée à un régime méditerranéen, riche en fruits et légumes, en huile d’olive et autres fruits oléagineux. Découvrez toutes ses vertus santé.

Un élément crucial d’une alimentation équilibrées

Avec peu de calories, les noix apportent de nombreux éléments nutritifs : oméga-3, vitamines du groupe B, manganèse, magnésium, zinc, cuivre, fer… qui peuvent être intéressants dans le cadre d’une alimentation équilibrée.
Certaines études ont montré son effet bénéfique sur la satiété grâce à sa richesse en fibres et en matières grasses de bonne qualité. Les fruits oléagineux et notamment les noix peuvent donc se substituer à des aliments riches en matières grasses dans l’alimentation.

Un allié de la santé cardiovasculaire

L’intérêt nutritionnel de la noix se trouve surtout dans la nature de ses graisses :

  • Une teneur élevée en acides gras poly-insaturés, notamment oméga-3 (acide alpha-linoléique) et un taux faible d’acides gras saturés
  • un pourcentage important d’acides gras mono-insaturés

C’est ce profil lipidique qui explique qu’elle est recommandée dans la prévention des maladies cardiovasculaires, des troubles métaboliques comme le diabète, mais aussi du cancer.

Utile contre les maladies inflammatoires

La noix est bonne source d’antioxydants, mais elle est aussi l’une des rares bonnes sources végétales d’oméga-3, nutriment connu pour ses propriétés anti-inflammatoires.
Or de nombreuses maladies sont en partie le résultat de l’inflammation et du stress oxydant (dyslipidémie, thrombose, syndrome métabolique, diabète de type 2, NASH, dégénération maculaire, maladie neurodégénérative, cancer, consommation de tabac…). Contre ces maladies, la consommation de noix semble utile.

Intéressante pour la santé intestinale

La richesse en fibres des noix est un atout pour améliorer le transit et lutter contre la constipation.
Les études sur ce sujet n’en sont encore qu’à leurs balbutiements, mais les noix, grâce à leur composition et à leurs fibres pourraient représenter un prébiotique de choix capable de nourrir les bactéries bénéfiques de l’intestin. 

Symbole d’un cerveau au top

La noix ayant une forme similaire à celle du cerveau, elle est soupçonnée depuis très longtemps d’être favorable à la santé de cet organe crucial. Ce que la science nutritionnelle a confirmé. La noix agit sur le cerveau de diverses manières :

  • En améliorant la santé cardiovasculaire, qui est elle-même un facteur de risque de maladies neurodégénératives et de déclin cognitif lié au vieillissement.
  • En réduisant le stress oxydatif et l’inflammation présents lors du vieillissement indépendamment des maladies grâce à ses polyphénols et ses tocophérols (de puissants antioxydants). De plus, ses acides gras poly-insaturés aident à maintenir l’intégrité et la souplesse des membranes des neurones ainsi qu’à atténuer l’agrégation des protéines bêta-amyloïdes impliquées dans la maladie d’Alzheimer. 

Les noix pourraient aussi, de par leur composition nutritionnelle, améliorer la vitesse de traitement des informations, la souplesse cognitive et la mémoire.

La noix en pratique

Comment choisir, cuisiner et conserver la noix ? Comment en retirer le maximum de plaisir et de bénéfices santé ?

Comment bien la choisir ?

À l’achat, vérifier qu’elle est assez lourde, avec les deux valves de la coque bien soudées, et sans traces de moisissures. Secouer les noix et choisir seulement celles qui ne font pas de bruit, si elles bougent c’est que le fruit est desséché.

Comment la conserver ?

  • Noix fraîche : à conserver au frais et à consommer rapidement
  • Noix sèche : à conserver quelques jours au sec

Comment la préparer ?

Pour vérifier si les noix ne sont pas desséchées avant de les ouvrir, mettre les noix dans l’eau froide et retirer celles qui remontent à la surface. L’utilisation d’un casse-noix est fortement conseillée pour venir à bout de la coque et avoir accès à la chair de la noix.

Comment la consommer et la cuisiner ?

La noix peut être consommée fraîche ou sèche, nature ou bien cuisinée dans des plats salés aussi bien que sucrés. Elle peut être dégustée entière, en morceaux ou en farine et chapelure dans des préparations comme les gâteaux. La noix peut aussi être consommée sous forme d’huile.
Les noix peuvent être cuisinées une dizaine de minutes au four ou sautées à la poêle (dans une poêlée de légumes par exemple).

Source

Les soupes, faites-en tout un plat

Un bouillon d’épluchures, légumes et œuf coque

Le bouillon a trois vertus : sa technique de cuisson est facile et se décline à l’infini, peu de matériel et d’espace sont nécessaires, un choix d’ingrédients économes et de saison y font des merveilles ! Voici notre premier bouillon en deux actes : l’infusion des épluchures et le rissolage des légumes. L’œuf à la coque est la cerise sur le gâteau.

Ingrédients pour 6 assiettes généreuses :
1 oignon
2 petites échalotes
4 carottes
2 poireaux moyens
1 gousse d’ail à peine écrasée sous la lame d’un couteau
2 feuilles de laurier
1,5 l d’eau
¼ c. à c. de sel
½ c. à c. de quatre-épices (poivre blanc, muscade, clou de girofle et gingembre)
Pour en faire tout un plat
Et plus si affinités ?
1 œuf coque

De belles tranches de pain de seigle pour les mouillettes (à beurrer ou pas)

Des bâtonnets de radis noir ou violet (vous les avez déjà goûtés trempés dans l’œuf à la coque ?)
Au choix pour le bouillon : poivre, thym, badiane, écorce de cannelle, piment, verveine séchée, concentré de tomate…

Brossez oignon, échalotes et carottes sous l’eau pour enlever toute trace de terre. Une attention particulière pour le poireau : le sable s’intégrant dans ses jupons au fil de la pousse, il doit être fendu en deux sur deux tiers de sa hauteur avant d’être lavé à grandes eaux. Retirez la barbe, les feuilles extérieures et la partie vert foncé, que vous rassemblez avec les autres épluchures. Épluchez et coupez les extrémités de l’oignon, des échalotes et des carottes. Réservez les extrémités. Hachez finement les épluchures pour qu’elles puissent révéler leurs ressources ignorées dans le bouillon. Coupez les parties nobles des poireaux et des carottes en tronçons, l’oignon et les échalotes en deux.

Dans une grande cocotte, versez l’eau et ajoutez les extrémités, les épluchures hachées, la gousse d’ail et les feuilles de laurier. Ajoutez le sel et la demi-cuillère de quatre-épices. Faites frémir tout doux pour des goûts subtils, ou cuire à bouillons impétueux pour développer de la puissance, pendant une bonne heure. Filtrez le bouillon et laissez-le patienter à température ambiante.

Dans deux cuillères à soupe de beurre clarifié (plus adapté à la cuisson car dépourvu de caséine et du lactosérum) ou dans de l’huile végétale, mettez à rissoler sur feu moyen les tronçons de poireaux et de carottes, oignons, échalotes, idéalement dans une sauteuse (ses bords hauts permettent de ramener de la vapeur sur les légumes). Salez. Retournez les légumes régulièrement pendant une vingtaine de minutes. Ils doivent être à peine dorés, confits comme des bonbons.

Épluchez et émincez le radis à la mandoline. Grillez le pain et coupez les tranches en mouillettes.

Les œufs coque

Portez l’eau à ébullition, plongez les œufs 4 minutes pile et décapitez. Pour une version végétalienne : remplacez l’œuf coque par 50 g de quinoa, de boulghour ou de flocons d’avoine, à ajouter au bouillon une fois filtré.

Finaliser le festin

Dans de grandes assiettes, disposez ces bijoux de légumes avec grâce et versez par-dessus le bouillon chaud filtré. Servez avec un œuf coque par convive. Accompagnez de mouillettes et de tranches de radis pour varier les goûts et les textures.

Courge, haricots et riz noir, zeste d’orange et crème

Deux techniques de cuisson sont utilisées pour donner sa sapidité à ce potage complet. La première consiste à faire rissoler ail et gingembre à feu vif, dans un peu de matière grasse, pour exprimer leurs saveurs caramélisées. La deuxième – une cuisson douce et longue – sert à attendrir légumes, légumineuses et féculents, et diffuser leurs saveurs.

Ingrédients pour 6 assiettes généreuses :
Version express : 300 g de haricots cuits, noirs ou rouges
Version slow food : 80 g de haricots noirs secs, cuits 45 min (après 12 à 24 h de trempage dans 3 fois leur volume en eau)
50 g de riz noir rond ou sauvage
400 g de potimarron
1 gousse d’ail, épluchée, émincée
3 cm de gingembre frais, épluché et émincé
1,5 l de bouillon de légumes (ou 2 à 3 cubes dilués dans 1 l d’eau)
Huile de cuisson : arachide, pépin de raisin…
1 zeste d’orange bio
Assaisonnement
Et plus si affinités ?
50 g de crème double ou de crème d’amande

Les feuilles de 2 branches de fenouil sauvage, d’aneth ou d’estragon

1 citron vert

Sel
Pour le bouillon : ½ étoile de badiane, curcuma en poudre, un peu de fève tonka râpée, quelques pistils de safran

Pour la crème : 1 c. à c. d’harissa ou de piment fumé

La soupe-à-manger

Brossez le potimarron sous l’eau. Coupez-le en deux pour en retirer les graines et débitez sa chair en cubes d’environ 2 cm, en gardant sa peau qui est comestible. Faites rissoler l’ail émincé et le gingembre dans un peu l’huile pendant cinq minutes sur feu vif. Ajoutez un peu de piment si vous l’aimez. Mouillez ensuite avec le bouillon, ajoutez le zeste d’orange et le riz. Au bout de trente minutes, ajoutez les haricots égouttés et les cubes de potimarron. Oubliez encore une demi-heure sur le coin du feu.

Mélanger les brins de fenouil ciselés (ou autres fines herbes) à la crème. Salez.

Rafraîchissez cette soupe-à-manger ardente avec la crème, quelques brins de fenouil ciselés et un trait de citron vert.

Crème de riz et chou-fleur, au jus et aux restes de poulet

Avis aux amateurs de poulet rôti ! Os et carcasse sont l’essence du bouillon de cette recette, et ils donneront une seconde vie aux restes de votre poulet du dimanche. Les amateurs s’en lècheront les babines tandis que les végétariens remplaceront ce jus par du bouillon de légumes ou de miso. Le chou-fleur, comme d’autres membres de la famille des crucifères, romanesco ou brocoli, forme un couple idéal avec le riz, riche en amidon, pour donner tout son velouté à cette crème.

Ingrédients pour 4 à 6 amateurs :
1 carcasse et les os d’un poulet bio (rôti et consommé)
Garniture de récup’ : vert de poireau, tiges de persil, feuilles de céleri branche
1 oignon
1 carotte
2 feuilles de laurier
Sel et quelques grains de poivre concassés
50 g de riz rond
1 chou-fleur adolescent, ni trop grand, ni trop petit
Quelques pincées de noix de muscade râpée
En accompagnement
Et plus si affinités ?
Les petites chairs de la carcasse de poulet (ne soyons pas les-sots-qui-les-y-laissent !)
Grains de cumin torréfiés
Quelques branches de romarin
2 c. à s. d’huile d’olive
1 c. à c. de mélasse de grenade ou de vinaigre balsamique

Retirez toutes les petites chairs restantes de la carcasse et réservez. Assemblez les os dans une cocotte. Couvrez d’eau et ajoutez la garniture de récup’ lavée et ciselée, l’oignon et la carotte hachés menu, les feuilles de laurier et les grains de poivre concassés. Salez. Laissez l’essence du bouillon se révéler à petit frémissement, pendant disons une petite heure. En même temps, faites cuire le chou-fleur entier au-dessus du bouillon, à la vapeur. Filtrez le bouillon.

Versez dans le bouillon filtré une pluie de riz rond. Laissez mijoter à partir du frémissement une petite demi-heure. Ajoutez le chou-fleur, hormis quelques sommités que vous gardez pour le dressage, et mixez. Ajustez l’assaisonnement.

Dans une poêle à feu vif, faites sauter les petits morceaux de poulet avec du romarin. Salez, poivrez ou épicez au gré de vos envies. Déglacez à la mélasse de grenade ou au vinaigre balsamique.

Répartissez la crème dans les assiettes creuses. Ajoutez les sommités de chou-fleur cuit et saupoudrez d’une épice de votre choix. Servez le poulet caramélisé à picorer entre deux cuillerées de crème.

Merci à La Ruche Qui Dit Oui pour ces excellentes recettes ?