Skip to main content

Étiquette : Hormones

Le soja, ami ou ennemi ?

Le soja est une légumineuse, c’est-à-dire qu’il appartient à la même famille que les lentilles, les fèves ou les pois. Il est aujourd’hui consommé sous diverses formes : fèves, germes, huile, tofu, yaourt, lait, farine, fermenté.

Une bonne source de protéines végétales

Le soja est très riche en protéines végétales de bonne qualité, ce qui en fait un aliment privilégié pour les végétariens et végétaliens. Les protéines du soja contiennent les acides aminés essentiels dans une proportion plutôt correcte et elles bénéficient d’une bonne digestibilité.

Il faut cependant savoir que le soja ne possède pas la même teneur en protéines selon sa forme. Voici la teneur en protéines pour 100g de produit :

  • Farine de soja : 45g
  • Tempeh : 19g
  • Tofu : 12g
  • Miso : 12g
  • Fèves de soja cuites : 12g
  • Yaourt au soja : 5g
  • Boisson au soja : 4g

Le soja et les hormones

Le soja contient des substances de la famille des phyto-oestrogènes, qui peuvent interagir avec les hormones féminines (oestrogènes). Ces hormones sont bien sûr essentiellement présentes chez les femmes, mais on les retrouve également chez les hommes en plus faible quantité. Les phyto-oestrogènes peuvent ainsi entrer en concurrence avec nos oestrogènes en se fixant à certains de leurs récepteurs. C’est pourquoi il existe de nombreux débats sur les effets du soja.

Il faut tout d’abord savoir que la qualité du microbiote intestinal va jouer un rôle important sur l’effet des phyto-oestrogènes. Lorsqu’elle est en bonne santé, notre flore intestinale transforme les phyto-oestrogènes en équol, une molécule plus active. Les effets du soja sont ainsi dépendants de la capacité du microbiote à transformer les phyto-oestrogènes en équol, ce qui peut expliquer la disparité des effets constatés en fonction des personnes. Seulement 25 à 60% de la population abriterait les bactéries nécessaires à la synthèse d’équol.

Les phyto-oestrogènes montreraient ainsi différents bénéfices pour notre santé. Ils auraient notamment des effets préventifs contre les cancers hormono-dépendants, en particulier contre le cancer du sein. En revanche, chez les femmes déjà atteintes de cancer du sein, certaines études avancent que les phyto-oestrogènes pourraient contribuer à la prolifération des cellules cancéreuses.

Les phyto-oestrogènes permettraient également de réduire le risque de maladies cardio-vasculaires. Elles auraient aussi un effet bénéfique sur l’ostéoporose et contribueraient à la bonne expression de nos gènes.

Le débat sur le sujet n’est pas tranché. Les études restent à ce jour controversées, et des études complémentaires sont nécessaires.

Quel impact environnemental pour le soja ?

Aujourd’hui, la culture de soja est responsable d’une grande partie de la déforestation de la forêt amazonienne au Brésil. Ainsi, la surface dédiée à la culture du soja est passée de moins de 30 millions d’hectares en 1970 à plus de 100 millions aujourd’hui (Agralytica, 2012).

Par ailleurs, les cultures de soja ont massivement recours à l’usage de pesticides, notamment au glyphosate, dont la toxicité est largement décriée. Ces pesticides contaminent sols et rivières et provoquent des problèmes sanitaires pour les populations locales. Enfin, la majorité de la production mondiale de soja – et notamment de soja brésilien – est issue d’OGM, dont on ne connaît pas encore bien les effets sur l’écosystème à long terme.

Face à cette situation, il faut tout d’abord savoir qu’une partie importante du soja cultivé dans le monde sert à l’alimentation des animaux, via la production de tourteaux de soja. Ainsi, nous consommons du soja indirectement en consommant de la viande.

L’industrie agroalimentaire est également responsable de l’impact écologique du soja. En effet, l’huile de soja est utilisée dans de nombreux produits transformés en raison de son faible coût (plats préparés, sauces, biscuits, etc.). Ainsi, n’hésitez pas à regarder en détail la liste d’ingrédients des produits afin d’éviter ceux qui contiennent de l’huile de soja.

Ce n’est donc pas la consommation de soja en tant que telle qui pose problème, mais son utilisation massive à la fois pour l’alimentation des animaux mais aussi par l’industrie agro-alimentaire dans de nombreux produits transformés.

Finalement, que faire ?

Aujourd’hui, plusieurs études montrent les bénéfices de la consommation de soja en quantité modérée pour la santé. Ceci est valable lorsque le soja est consommé sous forme d’aliments – surtout fermentés (tempeh, miso) – et pas sous forme de compléments alimentaires.

Même si les éléments à charge ne sont pas encore suffisamment clairs, il est toutefois conseillé d’appliquer le principe de précaution en attendant des études complémentaires.

1) Limitez votre consommation de soja entre 3 à 7 produits par semaine. Il est notamment recommandé de limiter leur consommation pour les jeunes enfants et en particulier les garçons, et chez les femmes enceintes et allaitantes.
2) Consommez le soja sous sa forme naturelle. Évitez notamment la consommation de soja sous forme de compléments alimentaires à base de phyto-oestrogènes.
3) Privilégiez les formes de soja fermentées (miso, tempeh). La fermentation permet d’optimiser les effets du soja en diminuant la présence de composés qui réduisent l’absorption des nutriments dans le système digestif. La fermentation contribue également à une meilleure métabolisation des formes actives du soja (equol) par le microbiote.
4) Préférez le soja bio et produit en France. En effet, les conséquences environnementales de la culture de soja au Brésil sont désastreuses et il est important de privilégier une consommation locale. Il faut savoir que le bio tolère cependant un seuil de 0,9% d’OGM
5) Optez pour du soja non OGM. Cela est généralement indiqué sur l’emballage. À noter : le soja produit en France est forcément sans OGM.

Source

Transpirez, c’est bon pour la santé

Transpirer, éliminer, expurger, est aussi vital que respirer. A chaque instant c’est pour notre organisme une façon de s’autoréguler et de préserver son intégrité. Les Anciens connaissaient bien les vertus de ce processus physiologique, ils ont même inventé des méthodes permettant d’accélérer la sudation pour se soigner ou simplement entretenir leur santé. Compte-tenu de l’intoxication générale actuelle, il est urgent de réapprendre à suer abondamment, et pas qu’une fois par semaine sur un vélo d’appartement…

Nos aïeux ont longtemps gagné leur pain « à la sueur de leur front ». Ceci explique peut-être cela : dans notre monde sédentaire, tout ce qui n’est pas agréable, tout ce qui demande un effort « fait suer ». On fait donc tout pour ne pas suer et, de fait tous les spécialistes s’accordent à dire qu’on ne transpire pas assez. On a inventé des machines pour limiter le phénomène (pour se déplacer, pour nous remplacer dans les taches pénibles…) et toute une cosmétique pour qu’on n’en perçoive pas les conséquences (cachez ces vilaines auréoles, déodorisez-vous, antiperspirez-vous !).

D’un côté on fait donc de moins en moins d’efforts physiques, de l’autre on s’empoisonne aux parfums de synthèse, aux sels d’aluminium, aux perturbateurs endocriniens et autres substances cancérigènes. Autant de facteurs mortifères.

Tout cela est donc fort préjudiciable car comme la morve ou le vomi, la transpiration est le produit d’un mécanisme essentiel à notre survie et à notre équilibre. Ne pas transpirer suffisamment, c’est perdre en santé. Dans ce contexte, comment faire pour suer à grosses gouttes ? Vous pouvez acquérir chèrement un hammam, un sauna finlandais ou monter une hutte de sudation dans votre jardin. Mais il existe maintenant une solution bien plus simple, bien plus commode, et moins coûteuse.

Cette solution m’a réconcilié avec la sueur au point que j’y recoure tous les jours. C’est comme ça je me fais suer sans me fatiguer.

On n’a pas trouvé mieux pour éliminer toxines et toxiques

La peau est l’un de nos quatre principaux émonctoires, c’est même l’organe d’excrétion le plus étendu et le plus résistant dont nous disposons. Sous ce tissu sont parsemées 3 à 4 millions de glandes sudoripares que l’on trouve en plus forte concentration sous les aisselles, autour des parties génitales, dans les paumes de mains et de pieds.

La sueur est la sécrétion de ces glandes sudoripares et la transpiration, phénomène sous contrôle du système nerveux sympathique, permet de l’évacuer par les pores de la peau. Ce processus est permanent, même en l’absence d’effort physique soutenu. Par « perspiration insensible », on évacue ainsi entre 0,5 et 1 l de sueur par jour, sous la forme imperceptible de vapeur…

La transpiration a deux grandes fonctions : 1. Elle permet à notre organisme de réguler sa température (thermorégulation) en la maintenant à 37° : l’évaporation de l’eau à la surface du corps absorbe la chaleur de la peau à raison de 600 calories en moyenne par litre de sueur. 2. Elle permet à notre organisme d’éliminer les déchets organiques, les toxines et les toxiques.

Pour ces derniers, c’est même la voie d’élimination la plus directe. Avec le développement de la pollution, cette deuxième fonction a pris davantage d’importance. Pendant longtemps, les scientifiques ont cherché où notre corps pouvait bien stocker les pesticides, insecticides et autres. Ils les ont cherchés dans le cerveau, dans le foie, les reins, l’intestin, partout.

Et ils ont fini par trouver ces substances toxiques là où on aurait dû les attendre : dans le tissu gras, le tissu de réserve (situé sous la peau) et «comme par hasard» connecté sur les glandes de la sueur. On sait mieux depuis à quoi servent nos glandes sudoripares. Ce sont de véritables autoroutes qui servent à éliminer directement (et mieux que le rein) les produits toxiques que l’on a absorbés sans le vouloir, sans le savoir, par l’alimentation, par la respiration.

Mais c’est quoi qui pue ?

C’est quoi la sueur ? C’est un liquide acide composé à 99 % d’eau et qui dépend pour le 1% restant de notre alimentation, et de notre degré de stress et d’empoisonnement. Aux côtés de l’eau, il y a les éléments suivants :

  • urée : le produit de dégradation des composés azotés (essentiellement des protéines),
  • acide urique : le résultat de l’oxydation des dérivés puriques (adénine, guanine, xanthine…),
  • acide lactique : un poison pour les muscles,
  • acide ascorbique,
  • ammoniac,
  • minéraux (notamment sous forme de sels d’où le goût salé) dont la présence et la quantité varient : sodium, potassium, zinc, fer, cuivre, chlore, plomb…
  • toxiques et corps étrangers en tous genres…

La proportion très relative de déchets et de toxines dans sa composition fait que la sueur n’a a priori pas d’odeur à la sortie des pores. Les mauvais effluves proviennent du fait que très vite les bactéries se délectent de ces composés : ceux-ci se dégradent alors en acides carboxyliques caractéristiques de l’odeur de transpiration.

Cependant, notre alimentation (comme notre hygiène) interfère sur ce processus. C’est le cas quand elle est trop riche en protéines (viandes, oeufs…), épices, ail, oignon, café qui produiront d’autant plus de déchets métaboliques ou toxines. La preuve en est que les Indiens ou les Japonais, qui ne mangent pas ou peu de viande, ont une sueur peu odorante comme les végétariens et n’utilisent pas de « pschitt qui tue », je veux parler des déodorants industriels.

Pourquoi ce collègue sentait si mauvais

Il y a des personnes que l’on peut « suivre à la trace » tant elles transpirent en permanence. Elles peuvent bien se couvrir d’antiperspirants, s’épiler (les poils piégeant les odeurs), se savonner au savon de Marseille (le meilleur geste d’hygiène face à la sueur), porter des vêtements en coton, en lin ou en soie qui laissent passer l’air… Cela ne change rien !

J’ai connu un collègue qui souffrait de sueurs profuses et que tout le monde l’évitait au bureau (en se pinçant le nez dans son dos). La transpiration excessive comme ça n’a rien de bénéfique ; c’est une maladie (hyperhidrose) qui révèle souvent un état de nervosité et d’inquiétude intérieure intense et c’est vrai que ce collègue paraissait toujours inquiet.

Cette maladie fait suer ou donne les mains moites, exactement comme on a des sueurs froides en cas d’anxiété ou de peur. Quand elle ne vient pas d’une maladie infectieuse, d’un dérèglement hormonal ou de la prise de médicaments, cette transpiration excessive s’explique par un dérèglement du système nerveux autonome (dit système sympathique).

Le thérapeute observe souvent un lien direct entre cette pathologie des glandes sudoripares et l’activité du rein, organe qui élimine le même genre de substances que la peau. Lorsque la transpiration est excessive, c’est souvent parce que les reins fonctionnent insuffisamment.

A l’inverse, et plus souvent, on ne transpire pas assez ou mal (c’est un peu comme le cerveau, on utilise que 10% des capacités d’élimination de notre peau !). Cela peut être en lien avec l’activité rénale, avec le stress. Ou en lien direct avec l’alimentation : c’est le cas quand on transpire mal en éliminant un taux anormal de « cristaux » comme disent les naturopathes, ces déchets à l’origine des rhumatismes, produits par une mauvaise dégradation des protéines, du sucre blanc, des aliments acidifiants. Cette élimination anormale est parfois telle qu’elle entraîne des manifestations cutanées intempestives comme l’eczéma sec.

La sudation forcée, méthode de choc de la médecine naturelle

La médecine classique a bien peu de réponses face à ces dérèglements du couple d’émonctoires peau-rein et du système nerveux sympathique. La médecine naturelle en revanche intervient de différentes manières. Le rétablissement de la santé passe d’abord par une révision alimentaire de bon sens (on supprime la source des cristaux et l’excès de toxines).

Il y a ensuite les plantes sudorifiques (sureau, tilleul) et les diurétiques, les plus connues. Certaines plantes offrent une action plus subtile.

La sauge officinale aide par exemple à réguler la chaleur interne donc la transpiration tout en ayant un effet détoxifiant (les Indiens d’Amérique l’utilisaient dans les huttes de sudation).

Et quand les glandes sudoripares travaillent en excès, ou inversement pas assez, les plantes fortifiantes et régulatrices de la fonction rénale (verge d’or, myrtille, busserole, bruyère, buis) font de précieuses infusions.

Il y a surtout les méthodes de sudation, autant de méthodes radicales pour accélérer l’évacuation des déchets, réguler la fonction de nos émonctoires (peau, rein…) tout en apaisant le système nerveux :

  • Les bains hyperthermiques : ces bains chauds (jusqu’à 42/43°) indiqués face aux virus (grippe) ou bactéries, détoxifient et créent «une fièvre artificielle» qui aide le corps à incinérer les micro-organismes pathogènes et les résidus métaboliques.
  • Les bains d’air chaud : les saunas ou bains nordiques nettoient le corps en profondeur. A 80° (température létale pour les germes sous forme végétative, y compris les staphylocoques), 15 mn de sauna permettent d’évacuer près d’1 l d’eau et une quantité de métaux lourds équivalente à celle qu’éliminent les reins en 24 h.
  • Les bains de vapeur : les adeptes des hammams ou des bains russes vous diront mieux que moi l’intérêt de la vapeur pour enrayer un rhume, soulager des maux de tête, des rhumatismes ou dissiper une gueule de bois…

Mais il y aussi les bains de survaporation, les bains alternés (chaud-froid) de Kneipp, les affusions, enveloppements et cataplasmes (à l’argile) et bien d’autres techniques encore.

Outre des bénéfices de santé, la pratique régulière de ces méthodes de sudation donne une belle peau, affine le corps et augmente notre potentiel de séduction.

On le sait depuis belle lurette. La sudation occupe une place de choix dans la médecine ayurvédique ou dans les thérapies hippocratiques. Dans la plupart des traditions, suer « sang et eau » est en outre un moyen de se purifier l’esprit : le succès new Age des « sweat lodges » (huttes de sudation) empruntées aux Amérindiens et aux Eskimos illustre cette dimension spirituelle dont nous sommes aujourd’hui si friands. 

Dans tous les cas une séance de sauna ou de hammam est bonne à prendre : ça rend beau et ça rend zen…

Tout ça c’est bien joli mais ce n’est pas notre culture…

Vous me direz que ce n’est pas vraiment notre culture. En plus, même si l’on trouve chez nous de plus en plus de hammams ou de saunas finlandais, il faut aimer et le supporter (il y a des contre-indications importantes). Et dans ce cas, encore faut-il pouvoir en profiter régulièrement, ce qui revient assez cher.

Alors comment transpirer au quotidien ? La pratique intense d’un sport est une solution. Et dans les centres de fitness la sudation est tendance : on fait du cycl’in ou RPM (qui consiste à pédaler à mort dans une féroce ambiance de discothèque sous les aboiements d’un coach), on a même réinventé le Yoga (avec sa version « Bikram », un Yoga tonique dans une ambiance de sauna) et on porte des shorts ou des ceintures de sudation pour mieux cramer les calories !

Tout cela traduit bien un vrai besoin. Je pratique aussi du sport bien que sous une forme plus douce. Mais je vous l’ai dit, j’ai trouvé un moyen de faire tourner mon système sudoripare à 100% sans me fatiguer, sans suffoquer, sans jamais me mettre en danger et pour pas cher.

Ce moyen étonnant commence à faire parler de lui mais reste trop peu connu : c’est le sauna à infrarouges. C’est un ami thérapeute qui m’a mis la puce à l’oreille. Il en possède un et ne cessait de m’en vanter les vertus. Et puis j’ai eu l’opportunité d’en tester un dans un centre de remise en forme où ces saunas de nouvelle génération commencent à remplacer les saunas finlandais. Rien d’étonnant, du coup j’ai moi aussi décidé d’investir.

Des rayons infrarouges ???

Cette invention japonaise des années 70 utilise le pouvoir des infrarouges. Le mot fait peur. Une chaleur à infrarouges, c’est pourtant un rayonnement identique à celui produit par le corps humain. Et l’infrarouge est l’onde la plus fréquemment rencontrée dans la nature. Les infrarouges sont une composante du spectre lumineux au même titre que les ultraviolets, les rayons X et gamma.

Ces rayons situés au bout de la bande du rouge visible sont invisibles et chauds. Ils atteignent le corps par des longueurs d’onde que l’on exprime en nanomètres (nm), parfois en microns. Les infrarouges sont non seulement très bien absorbés par notre organisme, mais ils participent à nos échanges vitaux et concourent à notre santé.

Le sauna dont je vous parle utilise les infrarouges dits longs, IRL (de longueur d’onde supérieure à 3 000 nm…), ceux qui sont le mieux absorbés par l’épiderme et provoquent la meilleure élévation de température.

Plusieurs études chinoises et japonaises (un groupe de chercheurs nippons travaille sur le sujet depuis 25 ans) ont confirmé l’intérêt de ce type de sauna pour les douleurs comme pour la dépression, en plus des vertus pour le système cardiovasculaire.

Des études de plus petite ampleur ont quant à elles pointé l’intérêt du sauna infrarouge pour les migraines, le diabète de type 2, la dépense calorique ou l’arthrite rhumatoïde.

N’oublions pas que c’est une invention japonaise : dans les années 70, beaucoup de Japonais ont visité la Scandinavie et en sont revenus adeptes du sauna. Médecins et scientifiques se sont penchés sur la technologie infrarouge et ont fini par trouver la solution adaptée à la vie moderne et à l’espace restreint des habitations des grandes métropoles.

Si vous souhaitez des conseils personnalisés pour bien réguler votre transpiration, je vous invite à me contacter.

Source