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Auteur/autrice : tof

Galette de haricots rouges

Hop hop, très rapide et très sain ! Recette idéale pour un dîner végétarien !

Préparation : 25 min
Cuisson : 10 min

Pour 2 personnes : 

  • 250 g de haricots azukis secs ou une boîte de 600g
  • 1 œuf
  • Farine
  • 2 échalotes
  • Huile d’olive
  • Herbe de Provence ou autres épices au choix
  • Sel, poivre

Laisser tremper les haricots dans de l’eau pendant au moins 12 h. Les cuire pendant 1 h (ou les choisir en conserve).
Mixer tous les ingrédients ensemble (haricots, œuf, échalote émincée finement, épices).
Avec un peu de farine, former des galettes rondes et fines.
Chauffer une poêle avec de l’huile d’olive.
Cuire pendant 5-7 min chaque face.
Consommer les galettes avec des crudités de saison.

Les haricots rouges renferment des protéines végétales de qualité, elles sont à privilégier pour vos dîners végétariens !

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Le kéfir, un allié de l’immunité

Le kéfir est un lait fermenté, de consistance plus épaisse que le lait (il existe aussi des kéfirs de fruits). Originaire de l’Europe de l’Est (Caucase, Balkans), il est désormais consommé dans le monde entier.

La fermentation du kéfir est réalisée par différents micro-organismes : des levures comme celles qui fabriquent de l’alcool (Saccharomyces), des bactéries lactiques (lactocoques, lactobacilles, streptocoques…) et des bactéries acétiques (Acetobacter). Tous ces micro-organismes vivent en symbiose.

Tout comme le yaourt, le kéfir contient des probiotiques qui peuvent avoir une action sur l’immunité. On sait déjà que le kéfir agit contre les symptômes de l’asthme et l’allergie. Aussi, cette boisson est-elle intéressante pour booster son immunité et espérer résister à une infection par le coronavirus SARS-CoV-2 ?

Ce que montre l’étude

Dans un article de janvier 2021 dans la revue Biomedicine & Pharmacotherapy, des chercheurs égyptiens et saoudiens font le point sur l’intérêt de boire du kéfir pour se protéger d’infections virales, à partir des études existant sur le sujet.

Ils expliquent les différents mécanismes d’action du kéfir sur le système immunitaire :

  • le kéfir stimulerait la production de macrophages et donc la phagocytose,
  • il favoriserait la maturation des lymphocytes CD4+, CD8+ et de ceux qui produisent les anticorps, à savoir les lymphocytes B,
  • il peut avoir un effet anti-inflammatoire, notamment en réduisant l’expression de certaines cytokines pro-inflammatoires (interleukines 1 et 6), du TNF-alpha et de l’interféron-gamma.

Le kéfir aurait une activité antivirale contre le virus Zika, les virus de l’hépatite B et C, le virus influenza H1N1, le virus de l’Herpes simplex, des rhinovirus et des rétrovirus. De plus, le kéfir est acide, avec un pH d’environ 4,6, ce qui peut gêner les virus pathogènes comme les coronavirus.

Pour ces raisons, les auteurs pensent que le kéfir peut contribuer à atténuer l’ « orage de cytokines » dont sont victimes certains patients Covid-19. Par ailleurs, le SARS-CoV-2 est un virus qui infecte les voies respiratoires, mais qui a aussi des effets gastro-intestinaux, d’où l’idée que des probiotiques puissent aider à la guérison.

En pratique

De manière générale, il est toujours bon d’ajouter des aliments fermentés, légumes ou boissons, à son assiette. Notez cependant qu’en ce qui concerne la prévention des infections, il n’existe pas de preuves formelles qu’ils agissent de manière significative.

Pour préparer vous-même votre kéfir, il vous faut un litre de lait entier, cru ou pasteurisé, et une cuillerée à soupe de grains de kéfir. Une fois mélangés, les ingrédients fermentent à température ambiante. Quand le kéfir a épaissi, au bout d’au moins 24 h, récupérez les grains et homogénéisez le kéfir. Consommez-le immédiatement ou laissez-le quelques heures ou quelques jours au frais pour le faire pétiller. Entretenez régulièrement les grains de kéfir si vous voulez les conserver longtemps.

Le kéfir peut se boire nature ou bien servir en cuisine pour remplacer le lait lorsque vous préparez des crèmes, des sauces, une pâte à crêpes ou des gâteaux. 

Il est également possible de préparer du kéfir de fruits :

Pour 1 L de boisson :

  • 1 L d’eau osmosée, de source ou minérale
  • 20 g de grains de kéfir de fruits (on en trouve en magasin bio ou sur internet)
  • 1 ou 2 figues séchées bio (selon leur taille)
  • 2 rondelles de citron
  • 20 g de sucre bio (éviter le sucre de coco)

Matériel :

  • 1 bocal en verre hermétique rond d’1,5 L 
  • 1 bouteille en verre ronde d’1 L (la forme ronde est importante par rapport au gaz produit lors de la fermentation)
  • 1 entonnoir
  • 1 passoire

Première fermentation

Déposez tous les ingrédients dans le bocal hermétique (grains, citron, figue, sucre, eau). Fermez-le pour une boisson plus pétillante. Agitez le bocal pour mélanger.
Gardez votre préparation à une température de 20 °C.
Cette première fermentation dure environ 24 à 48 h. Plus la fermentation sera prolongée, moins la boisson sera pétillante.

Deuxième fermentation

Filtrez la préparation.  Aromatisez-la à votre goût avec des fruits, des épices, des fleurs (framboises, gingembre, hibiscus, sureau…).
Versez le liquide aromatisé dans une bouteille, et conservez-la à température ambiante durant encore 24 h. Déposez la boisson au réfrigérateur pour ralentir la fermentation.

Conservation

•    Kéfir :
– Bouteille fermée : 1 semaine au frais
– Bouteille ouverte : 2 à 3 jours maximum
•    Grains :
Les grains se multiplient très vite. Pour les conserver, déposez-les dans un bocal fermé hermétiquement rempli d’eau, placez-les au réfrigérateur et changez l’eau une fois par semaine.
Pour réveiller les grains : placez-les à température ambiante dans un bocal fermé hermétiquement rempli d’eau sucrée. Et remplacer cette eau sucrée tous les 2 à 3 jours (les grains doivent être translucides).

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Cancer : les huiles essentielles qui aident

Les huiles essentielles sont de plus en plus utilisées en complément ou à la place des médicaments traditionnels pour soulager les effets secondaires des traitements allopathiques anticancéreux.

« Je les utilise régulièrement parce qu’elles sont efficaces et donnent de très bons résultats sur les effets secondaires des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie, traitements conventionnels contre le cancer », explique le Dr Anne-Marie Giraud, médecin généraliste, spécialisée dans le suivi des patients atteints de cancer, aromathérapeute et ­phytothérapeute.

D’ailleurs, elles sont de plus en plus utilisées à la demande des patients qui souffrent de ces effets secondaires. Les personnes se retrouvent parfois un peu seules face aux effets secondaires, elles n’osent pas toujours en parler à l’équipe médicale qui les suit à l’hôpital. Même si de plus en plus de services de cancérologie s’ouvrent à l’utilisation des plantes et des huiles essentielles comme des approches complémentaires, de nombreux oncologues se méfient des interactions avec les médicaments allopathiques.

Un emploi à bien maîtriser

De plus, les traitements de chimiothérapie sont lourds sur le plan chimique. Les personnes cherchent aussi à se tourner vers des solutions plus « naturelles » pour mieux gérer les effets secondaires de leurs traitements sans surcharger plus leur foie ou leurs reins, déjà très sollicités par les chimiothérapies. « Le bouche-à-oreille fonctionne aussi très bien, que ce soit dans les associations, les taxis ou les salles d’attente, les malades ont le temps d’échanger sur les résultats obtenus », précise Anne-Marie Giraud. Enfin, les huiles essentielles sont parfois plus efficaces que les médicaments conventionnels proposés pour soulager ces troubles et (ou) elles agissent avec bien moins d’effets secondaires.

Toutefois, il ne s’agit pas de les utiliser sans certains garde-fous. « C’est vrai qu’il faut rester vigilant et bien connaître les propriétés des huiles essentielles, car certaines peuvent être contre-­indiquées en fonction de telle ou telle pathologie, note Anne-Marie Giraud. Elles sont riches en principes actifs, puissantes et très efficaces à ­condition de bien les utiliser et pour cela il faut avoir des connaissances médicales et d’aromathérapie, poursuit Anne-Marie Giraud. Certaines autres huiles ont une activité œstrogène-like (il en existe une vingtaine). Elles ne doivent pas être utilisées chez les femmes atteintes d’un cancer du sein hormonodépendant. »

Mais, bien choisies, les huiles essentielles vont apporter un soulagement, un soutien à la personne malade. Et par une prise en compte holistique, elles peuvent lui donner la force d’aller jusqu’au bout du traitement de chimiothérapie. Parmi leurs effets secondaires fréquents, nous en avons choisi trois dont on peut venir à bout avec des huiles essentielles. Les synergies proposées sont simples et faciles d’emploi, l’une d’entre elles étant efficace par olfactothérapie.

Soulager la mucite

Beaucoup de traitements anticancéreux provoquent des irritations et des lésions de la bouche que l’on englobe sous le terme de mucite (aphtes, ulcérations au niveau de la bouche et de la gorge). On préconise de soulager ces maux avec des bains de bouche à base de bicarbonate et d’antiacides, pas ­toujours efficaces. « Les traitements allopathiques proposés ne présentent pas ­d’effets secondaires, mais les huiles essentielles sont souvent plus efficaces que les bains de bouche », admet Anne-Marie Giraud. Elle recommande le laurier noble en prévention, car il est anti-inflammatoire et antalgique : une goutte dans une cuillère à café d’huile végétale à faire émulsionner avec de la salive, puis à avaler.

Formule anti-mucite

Propriétés : Antimycosique, antibactérien, désinfectant, anti-inflammatoire, antifongique.

Indications : Calmer les inflammations de la bouche.

En gargarisme

  • HE d’arbre à thé (Melaleuca alternifolia) 3 gouttes
  • HE de citron jaune (Citrus limonum) 3 gouttes
  • Trois sachets de sucralfate (Spécialités Ulcar ou Kéal, en pharmacie)
  • Bicarbonate liquide à 1,4 % 500 ml (En pharmacie)

Mode d’emploi : Mélanger chacun des ingrédients dans le flacon de bicarbonate liquide. Agiter, c’est prêt ! Faire des gargarismes avec ce mélange jusqu’à trois fois par jour en préventif et cinq fois par jour en curatif après les repas. À conserver au réfrigérateur uniquement pendant vingt-quatre heures.

Diffuser des huiles essentielles, c’est bon pour le moral !

Les huiles essentielles en diffusion, c’est la bonne idée pour aider à garder le moral quand les traitements paraissent trop lourds et (ou) à lutter contre la fatigue (même si elle est naturelle et doit amener à un repos suffisant). Pour bénéficier au mieux des atouts de l’olfaction, il faut prévoir une heure de diffusion dans la pièce où l’on se trouve, à un moment où on est le plus réceptif (en période de repos ou de lecture par exemple). Les huiles essentielles de pin sylvestre ou de menthe poivrée sont efficaces pour diminuer la fatigue, les huiles essentielles de lavande, d’orange douce et de lavande fine aident à garder le moral.

Soigner les ongles

Le taxotère, très utilisé dans les protocoles de chimiothérapie en cas de cancer du sein, des poumons ou de la prostate est connu pour provoquer des lésions plus ou moins importantes au niveau des ongles. Ils peuvent noircir, se fragiliser, se strier, voire, tomber. « On trouve sur le marché quelques vernis, mais leur efficacité est loin d’être optimale », précise Anne-Marie Giraud. Là encore, les huiles essentielles présentent une alternative à ne pas négliger. « On peut avoir de très bons résultats au niveau des ongles en prenant certaines huiles essentielles par voie orale, l’hélichryse italienne notamment. Mais la prescription et la posologie doivent être encadrées par un médecin, car il existe des contre-indications en rapport avec des traitements ­allopathiques (anticoagulants) ou avant une intervention chirurgicale », ­prévient la médecin. En application locale, l’hélichryse italienne (ou immortelle) peut être utilisée sans risque, en la mélangeant à hauteur de 15 à 20 % maximum dans de l’huile végétale d’argan. À renouveler plusieurs fois en ­massage préventif sur les ongles des mains et des pieds.

Formule pour les ongles

Propriétés : Régénération des ongles.
Indications : Traiter les ongles fragilisés.

Voie locale

HE de citron (Citrus limon) 50 gouttes
HV de ricin (Ricinus communis) 10 ml

Traitement : Verser les huiles essentielles dans un flacon à vernis à ongles vide de 10 ml.

Déposer une goutte sur l’un des ongles le soir et l’étaler sur tous les autres et les cuticules. À faire pendant la durée des soins et tant que les ongles restent abîmés.

Précautions d’emploi : Le citron est photosensibilisant. Ce soin est donc à utiliser le soir uniquement.

Calmer les nausées

Tous les protocoles de ­chimiothérapie ne sont pas émétisants (ne provoquent pas de nausées). Mais certains en revanche peuvent déclencher des épisodes nauséeux pénibles, surtout si l’on y est sensible. Il arrive même que des patients développent une réaction psychologique et ressentent la nausée en franchissant la porte de l’hôpital. « Il existe des traitements allopathiques très puissants pour lutter contre les ­nausées, précise Anne-Marie Giraud. Ce sont des antiémétiques comme l’Emend ou le Zophren. Mais ils entraînent une constipation qu’il faut alors traiter avec d’autres traitements chimiques. » Soulager les nausées sans effets indésirables, c’est le credo de l’aromathérapie, et plus particulièrement d’une huile essentielle. Laquelle ? L’huile essentielle de citron (Citrus Limonum), à elle seule, soulage plus de 90 % des personnes présentant des nausées ou des vomissements, précise notre experte. Elle peut être prise la veille ou l’avant-veille d’une chimiothérapie ou pendant, voire le lendemain. On prendra deux à trois gouttes d’HE de citron deux à trois fois par jour en l’avalant avec un peu de miel ou de l’huile végétale ou en massant avec une ou deux gouttes ­déposées sur le poignet. Elle peut même soulager les nausées d’origine psychologique. » Comment ? En respirant simplement l’huile essentielle de citron. On parle alors d’olfactothérapie. Cette huile présente même un intérêt en combinaison d’un médicament antinauséeux, car elle combat la constipation. Pour les 10 % de nauséeux qui ne sont pas soulagés par le citron, Anne-Marie Giraud conseille de se tourner vers l’HE de menthe poivrée (Mentha piperita) que l’on utilisera en massage en déposant deux gouttes sur le poignet. Il est possible aussi de la ­respirer dans un flacon ou de l’avaler (une goutte dans une cuillère à café de miel d’agave et de l’huile végétale).

Formule contre la nausée

Propriétés : Antinauséeux.
Indications : Prévenir et calmer les nausées.

À respirer

HE de menthe poivrée (Mentha piperita) 50 gouttes
HE de citron jaune (Citrus limonum) 50 gouttes
HE de menthe verte (Mentha spicata) 25 gouttes

Mode d’emploi : Mélanger les huiles essentielles dans un flacon de 10 ml. Imbibez la mèche d’un stick inhalateur avec dix gouttes de ce mélange ou déposer trois gouttes sur un mouchoir.

Respirer aussi souvent que nécessaire en cas de nausée. Formule contre-indiquée chez la femme enceinte et allaitante.

Variante : On peut remplacer l’HE de menthe verte par 25 gouttes d’HE de gingembre frais.

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