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Auteur/autrice : Anne-Lise Collet

Gâteau à la patate douce

Amoureux de la patate douce, vous allez craquer pour ce gâteau ! Initialement conçu pour les sports d’endurance, il a un index glycémique bas, ne comporte ni gluten ni lait et respecte l’équilibre acido-basique. What else ? ?‍♀️

Préparation : 15 min

Cuisson : 1h

Ingrédients pour un gâteau :

  • 700 g de patates douces
  • ½ c. à c. de paprika
  • ½ c. à c. de cannelle
  • 20 g de sucre complet (ou 2 sachets de sucre vanillé)
  • 50 g de farine de sarrasin
  • 3 cl d’huile d’olive
  • 4 oeufs

Préchauffer le four à 200 °C.
Faire cuire les patates douces à la vapeur. Lorsqu’elles sont cuites, les éplucher puis les écraser.
Incorporer la cannelle, le paprika, la cassonade, la farine et l’huile d’olive.
Ajouter deux oeufs entiers un par un, puis deux jaunes.
Monter deux blancs d’oeufs en neige et mélanger le tout.
Verser la préparation dans un moule et faire cuire pendant 40 min.

Ce gâteau peut se consommer en ravitaillement de course ou au petit-déjeuner avant une course (tester la digestibilité lors d’un entraînement).

Merci LaNutrition.fr

Galette aux amandes ultra-rapide

On me demande souvent quoi manger au petit-déjeuner, en-dehors du pain. Voici une recette très rapide, saine, à IG* bas, sans gluten et sans lactose.

Suivant les goûts et le niveau d’activité physique, on peut y incorporer des épices, aromates, du fromage, du jambon, des noix, des graines ..

Préparation et cuisson : 5 min

Ingrédients pour deux galettes (quantité pour un petit déjeuner équilibré et rassasiant )

  • 2 oeuf
  • 100 g d’amandes moulues
  • 1 à 2 c.à c. d’huile de coco ou d’olive, ou de beurre clarifié (ghee)
  • 1 pincée de sel – épices – herbes ou de cannelle – cardamome – cacao (au choix bien sûr ! Suivant l’effet sucré ou salé recherché)

Battre les oeufs avec une fourchette, incorporer les amandes moulues. Ajouter les compléments aromatiques en fonction de son envie.
Dans une petite poêle, faire chauffer la matière grasse.
Verser le mélange oeufs-amandes dans la poêle et bien aplatir de façon à former une (ou deux !) galette(s) de 1 cm d’épaisseur maximum.
Faire dorer des deux côtés à feu doux puis égoutter sur du papier essuie-tout.
Une fois la galette légèrement refroidie, elle peut être coupée en deux dans l’épaisseur, et garnie de divers ingrédients (fromage, jambon, saumon fumé, purée de sésame ou amandes, houmous, …)

Si vous ne savez pas quoi manger au petit-déjeuner et avez besoin de conseils pour équilibrer et varier vos journées, n’hésitez pas à me contacter ?

IG : index glycémique

Merci LaNutrition.fr

Brownie « healthy »

Voilà de quoi se faire plaisir avec bonne conscience ! Le petit secret de ce brownie ? gourmand mais sain ? Les haricots rouges ! Si on ne le sait pas, impossible de deviner cet ingrédient mystère riche en protéines. N’attendez plus, préparez ce délicieux brownie au chocolat !! ?

Ingrédients6 personnes

  • 250 g d’haricots rouges cuits égouttés
  • 60 g de sucre roux
  • 200 g de chocolat noir
  • 2 oeufs
  • 30 g de noisettes
  • 30 g de noix
  • 30 g d’amandes
  • Fleur de sel, huile d’olive

Étapes

1. Rincez les haricots rouges et égouttez-les. Mixez-les avec le sucre et 1 cuillère à soupe d’huile d’olive.

2. Faites fondre le chocolat au bain marie puis ajoutez-le à la pâte de haricots rouges. Ajoutez ensuite les oeufs et une pincée de sel. Mélangez pour obtenir une préparation homogène.

3. Hachez grossièrement les noix, noisettes et amandes et ajoutez les 3/4 à la préparation.

4. Huilez légèrement un moule à gâteau ou ajoutez une feuille de papier sulfurisé et versez la préparation. Saupoudrez d’une pincée de fleur de sel et du reste des fruits secs. Faites cuire 25 minutes à 170°C.

Laissez refroidir le brownie 10 minutes et dégustez-le encore tiède !

Bon appétit ?

Merci Yuka

Curry de patates douces aux épinards

Il fait froid, il fait moche (tant mieux pour la végétation, pour la pluie au moins !) alors on se fait plaisir avec un plat réconfortant, de saison et bon pour la santé. Et en bonus une petite histoire du curry sous la recette !

Pour 4 personnes

Ingrédients :

Cuisson : 15 minutes

• 1 grosse patate douce (500 g)
• 200 g d’épinards frais
• 2 gousses d’ail émincées
• 1 petit oignon émincé
• 1 c. à café de curcuma
• ½ c. à café de cumin en poudre
• ½ c. à café de cumin en grains
• 1 c. à soupe d’huile d’olive
• 3 c. à soupe de lait de coco

Brosser la patate douce et la couper en dés. Laver et égoutter les épinards. Faire cuire les dés de patate douce à la vapeur pendant 10 min puis ajouter les épinards sur le dessus. Couper le feu et laisser couvert. Dans une poêle, faire revenir l’ail et l’oignon avec les épices dans l’huile d’olive. Remuer et, au bout de 2 min, ajouter le lait de coco. Ajouter les légumes dans la poêle et mélanger afin de les enrober.

Saler légèrement et servir aussitôt.

Servir par exemple avec un riz semi-complet ou complet.

En savoir plus sur le curry…

Le curry c’est quoi ?

Le curry c’est quoi ? C’est un mélange de plusieurs épices. Le terme curry est une déformation par les anglais du terme « kari » en tamoul qui signifie à l’origine “sauce”. Originaire de l’Inde du sud, on trouve néanmoins déjà des traces de celui-ci dans la vallée de l’Indus plus de 2000 ans avant J.C. La première recette imprimée d’un curry fut publiée en 1747.

L’histoire du Curry

Ce mélange s’est ensuite étendu au XIXème siècle dans les Caraïbes grâce aux travailleurs indiens de l’industrie sucrière britannique. Il s’est ensuite propagé aux Etats Unis d’Amérique et enfin dans le monde occidental, devenant une référence dans les mélanges d’épices.

On trouve du curry dans tous les états d’Inde, au Sri Lanka, au Bangladesh, au Pakistan et dans toute l’Asie du sud-est. Mais chaque famille a ses propres mélanges et recettes. Il n’existe pas un seul curry mais d’innombrables curry selon leur origine et leur usage ! En Europe, les currys s’occidentalisent selon leur composition, la disponibilité des produits et une origine géographique. Pour exemple, Le curry de Madras (ville d’Inde du Tamil Nadu) n’est pas utilisé en Inde, le terme fut inventé par les restaurateurs en Angleterre. Parfois la confusion s’installe en masala et curry. Un masala (मसाला en hindi) est un mélange d’épices comme le curry.

Le curry en cuisine

Le curry, comme souvent pour les épices, a besoin d’un vecteur de diffusion de ses saveurs, comme les corps gras, qui propagent toute la saveur d’une épice. Il est ainsi conseillé d’utiliser un curry en infusion avec un bouillon de viandes, de la crème, du lait de coco, des sauces, de l’huile ou du beurre. Mettez-le au début de votre préparation et si besoin rectifier selon votre goût en fin de cuisson avec du curry à nouveau ou du curcuma, gingembre, poivre et ou du piment ! Il accompagne très bien les viandes, les poissons ou encore les légumes.

Merci Bioconsomacteurs

Velouté de quinoa à l’ail

Voici une bonne manière, équilibrée, de se réchauffer ? A servir au dîner, accompagné d’une portion de légumes (crus ou cuits).

Ingrédients pour 6 personnes

  • 3 gousses d’ail,
  • Quelques branches de persil,
  • 80 g de graines de quinoa,
  • ½ litre de lait d’amande
  • ½ litre d’eau
  • 4 c. à soupe d’huile d’olive,
  • 1 bonne pincée de muscade en poudre,
  • Sel complet,
  • Poivre noir au moulin.

Préparation

Peler et écraser l’ail. Chauffer l’huile dans une casserole. Ajouter l’ail et le laisser fondre pendant 5 minutes.

Dés que son parfum se dégage, ajouter l’eau, le lait d’amande, le sel, le poivre et la muscade.

Verser le quinoa en pluie et mélanger.

Porter à ébullition, baisser le feu puis laisser mijoter 20 minutes en remuant souvent.

Pendant ce temps, rincer et sécher le persil puis le ciseler.
 Mixer la soupe, rectifier l’assaisonnement.

Servir parsemé de persil ciselé.

Merci LaNutrition.fr

https://www.proxibienetre.fr

Les différents types de sucres

Les listes d’ingrédients des produits industriels sont truffées de sucres cachés : voici une liste non exhaustive des noms que le sucre peut prendre.

Le plus connu : le sucre blanc

Le sucre blanc est issu soit de la canne à sucre -dans ce cas il est raffiné- soit de la betterave sucrière, il est alors naturellement blanc et non raffiné. En France, la majorité du sucre blanc que nous consommons est issu de la betterave sucrière. Le sucre blanc est constitué de saccharose, une molécule constituée à 50% de glucose et à 50% de fructose.

Sucre de canne, sucre roux (cassonade, vergeoise) ou sucre blanc?

Le sucre roux est extrait de la canne à sucre, il provient du jus de canne et est donc naturellement roux, on le trouve généralement sous l’appellation « cassonade ». Selon la réglementation, la dénomination « cassonade » est réservée au sucre roux cristallisé issu directement du jus de la canne à sucre et sa coloration résulte « exclusivement de la transformation, lors du procédé de fabrication, de substances issues de la matière première d’origine ».

Mais il peut également provenir de la betterave sucrière, dans ce cas le jus extrait de la betterave doit être chauffé pour obtenir un sucre roux, c’est ce qu’on appelle la vergeoise.

Le sucre blanc peut également être issu de la canne à sucre mais dans ce cas il doit être raffiné.

Quels sont les autres types de sucres (naturels ou non)?

Il existe de nombreux types de sucres : lactose, mélasse, miel, et bien d’autres encore dans les produits industriels. Découvrez ce qui se cache derrière le nom de plusieurs sucres, avec une indication sur leurs effets biologiques.

Quel type de sucre est le glucose ?

Le glucose est naturellement présent dans l’organisme, il entre dans la composition du saccharose et des amidons (amylopectine, amylose : ce sont des sucres sous forme de longues chaines de glucose). L’industrie agroalimentaire le récupère d’ailleurs par hydrolyse enzymatique de l’amidon. Pris isolément, il élève fortement la glycémie et peut conduire à une résistance à l’insuline.

Le saccharose : le plus utilisé

Le saccharose est une molécule composée de glucose et de fructose, c’est le sucre le plus utilisé par l’industrie agroalimentaire, surtout pour la confection de confiseries, boissons, confitures et pâtisseries. C’est le référent pour comparer le pouvoir sucrant des différents sucres. Son index glycémique est modéré du fait de la présence de fructose (qui lui-même peut poser problème, voir ci-dessous).

Dextrose

Il s’agit d’une molécule de glucose purifié et cristallisé, issue de l’hydrolyse complète de l’amidon.

Fructose

C’est un sucre naturel qui se trouve en abondance dans les fruits et le miel, il a un index glycémique plus bas que le saccharose mais un pouvoir sucrant supérieur à celui-ci.

Les industriels l’obtiennent aussi (avec du glucose en proportions variables) à partir de sources comme le maïs, par acidification enzymatique et l’ajoutent aux sodas et autres aliments ultra-transformés. Le fructose est métabolisé par le foie. Lorsqu’on en consomme trop ou trop souvent et surtout sous forme de fructose ajouté, les études montrent qu’il induit une résistance à l’insuline, un stress oxydant, une infiltration graisseuse du foie, qui augmentent le risque de surpoids, le risque de diabète et peuvent conduire à un « foie gras ». Le fructose se trouve aujourd’hui dans de nombreux aliments ultra-transformés et il est connu pour être un des sucres les plus adipogènes, c’est-à-dire qu’il conduit à la formation de graisses

Lactose

C’est un type de sucre naturellement présent dans le lait et les produits laitiers. Mais les industriels peuvent également récupérer ce sucre en procédant à diverses manipulations du lactosérum. Il est métabolisé en galactose et glucose, mais après l’âge de 3-5 ans, la majorité des êtres humains ne peuvent plus assurer cette transformation correctement (ce qu’on appelle intolérance au lactose).

Galactose

Il est issu de l’hydrolyse du lactose, un sucre présent dans les produits laitiers, on peut aussi le trouver en petite quantité dans certaines plantes comme les légumineuses.

Maltose

Appelé aussi sucre de malt, ce type de sucre est composé de plusieurs molécules de glucose. Il est issu de l’hydrolyse de l’amidon du maïs ou de l’orge.

Maltodextrine

C’est une molécule soluble composée de maltose et de dextrine. Il est utilisé par les industriels comme additif et s’apparente au dextrose. Il sert surtout à épaissir les produits laitiers.

Dextrine

Chimiquement c’est une longue chaîne de dextrose, issue de la fermentation du saccharose par des bactéries.

Caramel

Provenant de la cuisson du sucre, il est souvent utilisé comme colorant ou arôme (E150).

Ethyl-maltol

C’est un composant de l’industrie agroalimentaire utilisé comme exhausteur de goût et arôme synthétique (E637) dans les aliments.

Jus de fruits concentré

Sirop obtenu suite à la réduction de l’eau dans le jus, c’est un produit riche en fructose, glucose ou saccharose en fonction du fruit.

Mélasse

Produit généré par le raffinage du sucre de canne ou de betterave. Seule la mélasse issue de la canne est propre à la consommation humaine. C’est un sirop épais et visqueux qui peut être utilisé en cuisine pour remplacer le sucre simple, il est essentiellement composé de saccharose.

Miel

Ce sucre naturel qu’on ne présente plus, est riche en fructose et a un pouvoir sucrant souvent plus élevé que le saccharose.

Muscovado

C’est un sucre naturel de canne roux non raffiné, purifié, filtré puis caramélisé composé de saccharose.

Sirop d’agave

C’est un sucre issu de l’extraction de la sève de l’agave, la plante qui sert à fabriquer la téquila. Il a un goût relativement neutre comparé à celui du miel. C’est un édulcorant naturel avec un pouvoir sucrant plus élevé que le sucre blanc, avec une forte teneur en fructose.

Sirop d’érable

Sucre issu de la sève de l’érable à sucre qui a été bouillie. Il est riche en saccharose.

Sirop de bouleau

Il est issu à partir de la sève du bouleau mais il est moins sucré que son cousin le sirop d’érable et a un goût particulier qui s’apparente au caramel épicé, il est composé de fructose et de glucose.

Sirop de glucose-fructose

C’est un sirop de glucose qui contient une proportion de fructose, c’est un produit essentiellement utilisé par les industriels.

Sirop de maïs

Issu de la fécule de maïs, avant transformation il est essentiellement composé de glucose. Il est utilisé principalement en confiserie, mais on peut le retrouver dans les boissons, les fruits en conserve, les crèmes glacées … l’industrie agroalimentaire utilise une version de ce sirop qui est riche en fructose, surtout pour les boissons gazeuses.

Sirop de malt

C’est un sirop confectionné à partir de graines d’orge germées, séchées, grillées puis moulues qui vont ensuite être fermentées. Ce produit est une sorte de mélasse sucrée composé de maltose, destinée à certaines recettes, mais elle permet également la confection d’alcools tels que la bière ou le whisky.

Sirop de riz

Issu de la fermentation du riz brun et d’orge entier, composé de maltose. Il est souvent utilisé par les industriels pour les barres énergétiques destinées aux sportifs.

Sirop de sorgho

C’est un sirop issu des tiges du sorgho commun, une céréale d’origine africaine. La tige va être pressée, puis chauffée ; ensuite en évaporant l’eau, on va obtenir un sirop couleur or. On retrouve essentiellement de l’amidon.

Sucre brut

Le sucre brut se présente sous forme de cristaux bruns et secs, il est issu du jus de la canne à sucre non raffiné, non cristallisé et évaporé.

Sucre de coco

Il provient de la sève de la fleur de cocotier et ressemble au sucre roux, mais avec un index glycémique plus bas.

Sucre de dattes

Issu de la déshydratation et le broyage des dattes, il ressemble au sucre roux, les bénéfices nutritionnels de ce fruit en plus. Il contient essentiellement du fructose et du glucose.

Sucre de raisin

Suite aux vendanges, le jus de raisin restant subit une évaporation afin d’obtenir un concentré liquide des sucres du raisin contenant du glucose.

Sucre Demerara

Extrait du sucre de canne qui provient de Guyane, il est granulé, humide et enrobé de mélasse onctueuse.

Sucre glace

Le sucre glace est obtenu à partir de cristaux de sucre blanc moulus en poudre très fine.

Sucre inverti

Mélange de sirop de glucose et de sirop de fructose à concentration égale qui affiche un pouvoir sucrant légèrement supérieur au fructose. Il est très utilisé par l’industrie pour la biscuiterie grâce un fort potentiel technologique (liant, texture, couleur, goût).

Golden syrup

Sucre inverti (glucose et fructose) obtenu à partir de la mélasse lors de la fabrication du sucre de canne. Il est utilisé en cuisine pour son fort pouvoir sucrant et le fait qu’il ne dessèche pas.

Sucre turbiné / turbinado

Sucre de canne semi-raffiné avec des cristaux plus ou moins colorés.

En pratique

Pour réduire notre consommation de sucre, il faut limiter les produits sucrés évidemment et « traquer » les sucres cachés en lisant les étiquettes et en repérant les dénominations des différents types de sucres. En évitant les produits ultra-transformés, les boissons sucrées et en favorisant les aliments « bruts », votre consommation de sucre sera significativement diminuée. N’oubliez pas que les matières grasses, bien choisies, ne sont pas un ennemi, le sucre oui !

Si vous avez besoin d’être accompagné.e pour rééquilibrer votre alimentation ou réduire votre dépendance au sucre, je peux vous aider ; contactez-moi !

Merci LaNutrition.fr

Chop Suey de légumes au tofu fumé

On me demande souvent comment cuisiner le tofu, en faisant une mine bien triste ?
En effet, lors de mes consultations, je conseille d’alterner les protéines animales avec des protéines végétales comme le tofu. Mais il faut bien reconnaitre qu’un bloc de tofu est souvent assez fade. Il faut tout simplement l’agrémenter un peu ! Voici une recette traditionnelle chinoise toute simple, de saison (si l’on remplace la courgette par exemple par des petits pois ou les dernières courges), qui permet de faire un repas complet et riche en protéines ?

Ingrédients pour 4 personnes
300 g de tofu fumé
2 gousses d’ail
4 cm de gingembre
1 c. à s. de graines de sésame
4 c. à s. de sauce soja ou tamari
2 c. à s. de miel
2 c. à s. d’huile de sésame bio
Quelques rondelles de piment rouge (en option)
Quelques feuilles de coriandre
1 oignon nouveau
1 carotte
1 courgette (ou 100g de petits pois, ou 100g de courge)
½ chou chinois (ou pak choï)
½ citron (vert ou jaune)
  1. Coupez le tofu en cubes
  2. Ecrasez l’ail et le gingembre (dans un mortier) avec une pincée de sel
  3. Si vous optez pour le piment, découpez-le en rondelles (enlevez les graines pour moins de piquant et pour préserver votre estomac ?)
  4. Préparez la marinade en mélangeant : sauce soja, miel, ail/gingembre, piment, huile de sésame, feuilles de coriandre hachées
  5. Faites mariner le tofu dans cette sauce
  6. Pendant ce temps, découpez les légumes en fines rondelles/lamelles
  7. Gardez la marinade de côté, faites sauter les dés de tofu dans une poêle ou un wok avec un peu d’huile de sésame bien chaude. Juste avant de sortir du feu, saupoudrez de graines de sésame et réservez.
  8. Allongez la marinade restante avec le jus de citron et un filet d’eau.
  9. Faites sauter les légumes dans un peu d’huile bien chaude, en les arrosant de la marinade de tofu au fur et à mesure. Les légumes doivent rester tendres et fermes.
  10. Ajoutez les dés de tofu cuit. Mélangez délicatement le tout et parsemez de graines de sésame, de quelques feuilles de coriandre et de quelques lamelles d’oignon.
  11. Dégustez avec un bon riz thai ou basmati, ou des nouilles de riz !

Merci LaRucheQuiDitOui

Sève de bouleau : à quoi sert-elle ?

La sève de bouleau accompagne merveilleusement le début du printemps. En boisson, elle draine et reminéralise l’organisme en douceur. C’est désormais devenu un classique de la cure d’intersaison.

En mars, ça commence

C’est le moment de la récolte de sève de bouleau (à ne pas confondre avec le jus de bouleau) ! Le moment idéal, c’est quand on a une alternance de nuits très froides et noires et de jours cléments et très lumineux. Dans ces moments là – souvent situés entre mi-mars et mi-avril – la sève coule à flots avec une puissance inouïe. Pour la récolter, il faut s’enfoncer profondément dans la forêt  et parfois dégager les chemins. Cela nécessite un certain temps de préparation de la campagne, toujours avec l’accord des gens de l’ONF. On pénètre dans la forêt presque inaccessible où se situent les gros bouleaux. De vrais specimens souvent. Ce sont eux les vrais producteurs de la sève de bouleau.

Faire soi-même sa sève de bouleau ? Oui en théorie

L’extraction peut, en théorie, être réalisée par n’importe qui car elle s’opère en faisant une incision dans l’écorce d’un bouleau, on fore ensuite sur quelques centimètres et on place une paille dans le trou pour guider la sève dans un récipient. On rebouche ensuite le trou avec un bouchon de feuilles. Ça c’est en théorie car il faut que l’arbre soit suffisamment gros, que ce soit un betula pubescens et il faut faire ça bien… pour ne pas tuer l’arbre (qu’il faudrait aussi, en théorie, remercier une fois le prélèvement opéré ?). Dans la réalité, il y a maintenant des extracteurs de sève professionnels et des milliers de personnes qui préfèrent leur laisser le soin de faire le boulot proprement.

L’extraction : un processus industriel au Canada, mais encore artisanal en France

Comparable à la coupe de bois, l’extraction de la sève est un processus qui nécessite un appareillage compliqué du type de ceux qu’emploient les exploitants de sève au Canada avec de cuves montées sur de gros engins. Mais en France, c’est encore souvent la débrouille malgré une grosse croissance de la demande. Et dès que c’est récolté, il faut que ça soit expédié. Ce sont maintenant des milliers de personnes qui pratiquent la cure de sève de bouleau en France et la ressource reste rare.

La sève la plus naturelle possible et la plus fraîche possible

Il faut d’abord savoir que la stabilité naturelle du liquide rend inutile tout ajout de conservateurs ou le recours à la pasteurisation. C’est de la sève pure et elle se conserve bien, mais plus on la boit tôt, meilleur c’est… Le liquide recueilli est blanc et pas plus visqueux que l’eau. Tout doucement son goût va se modifier pour aller vers le goût « petit lait » en fin de cure. Certains trouvent qu’alors, c’est encore meilleur. Mais l’énergie de l’arbre s’est un peu envolée. Et si on la laisse fermenter, au bout d’un mois, le goût de la sève devient assez particulier. Une petite précision tout de même : gardez-la au frais si vous ne voulez pas qu’elle vous explose à la figure !

Comme quand il faut vider une batterie pour mieux la recharger

La sève de bouleau constitue la cure de printemps de prédilection pour ceux qui souhaitent éliminer les toxines accumulées pendant l’hiver. Depuis le XIIème siècle, les peuples de l’Europe du Nord boivent au printemps de « l’eau de bouleau» en cure. Les propriétés drainantes et diurétiques de la sève ont été confirmées depuis et les indications se sont multipliées, notamment pour l’élimination des déchets organiques comme l’acide urique. La puissance de drainage de la sève est également reconnue pour améliorer très nettement les problèmes de peau puisqu’ils sont souvent liés à la saturation par les toxines des systèmes excréteurs.

La sève de bouleau est d’abord un drainant, nous l’avons vu, mais elle offre dans le même temps tous les minéraux et oligo-éléments dont nous avons besoin pour recharger nos batteries. Grâce à la présence de silicium organique bio-disponible, de calcium et de phosphore, c’est un reminéralisant hors pair. Le potassium permet en outre au cœur d’améliorer le rythme cardiaque et de réguler la circulation sanguine. Le magnésium, le lithium et autres oligo-éléments rééquilibrent l’humeur et préviennent la déprime. La vitamine C et le sélénium participent à la lutte contre le stress oxydatif. Tout ça, c’est bon pour les os, le coeur, la mémoire, le surpoids, les articulations, la peau… bref… tout.

Une cure de printemps de 5 litres… l’idéal

Quand on est adepte de la sève de bouleau, une cure de 5 litres suffit à peine. Tant on aime se servir un petit verre de temps en temps. C’est vendu dans un cubi, comme le vin rosé de l’été. On le met sur le balcon et hop, une petite gorgée. Pas trop glacé tout de même. Mais, si on est plus raisonnable, une cure de 5 litres (21 jours) suffit. Et si vous préférez faire un test, je vous recommande d’essayer les bouteilles en verre de 500ml.

Et si vous avez raté la saison

Jusqu’ici, on ne pouvait consommer la sève de bouleau qu’en pleine saison et encore, peu de temps, car la sève finit par fermenter. Mais il est désormais possible de s’en procurer en toute saison. Une des options intéressantes est de se procurer de la sève de bouleau lacto-fermentée, qui conjugue les vertus traditionnelles du breuvage à un apport en bactéries bénéfiques pour le microbiote intestinal.

Alors, à vous de choisir ! Et si vous souhaitez de bonnes adresses pour votre cure, contactez-moi !

Merci Alternative Santé

Cake banane-choco sans gluten ni caséine

Ne cherchez pas les bienfaits nutritionnels, on est surtout sur le plaisir ?
Mais un plaisir sans gluten, ni caséine (= protéines du lait).

Ingrédients pour 10 parts

• 4 bananes (400 g)
• 1 sachet de levure sans gluten
• 45 g de sucre de coco ou complet
• 125 g de poudre d’amandes
• 175 g de farine de riz
• 60 g d’huile d’olive
• 4 œufs
• 6 carrés de chocolat noir mini 70% cacaco
• 1 cuillère à soupe bombée de purée de cacahuète
• 2 cuillères à soupe de boisson végétale de riz

Préchauffez votre four à 180°C.

Epluchez les bananes et déposez-les dans un saladier, versez-y la levure.

Ecrasez les bananes à la fourchette, vérifiez que la levure est bien intégrée à la purée de bananes.

Versez le sucre puis mélangez à nouveau.

Ajoutez la poudre d’amandes, la farine, l’huile d’olive et les oeufs, fouettez jusqu’à obtenir un mélange épais.

Versez l’appareil dans un moule à cake et lissez la surface.

A l’aide d’un couteau, hachez grossièrement les carrés de chocolat ; dispersez-les sur le dessus du cake.

Enfin, diluez la purée de cacahuètes avec la boisson végétale. Versez ce mélange sur le cake et à l’aide de la pointe d’un couteau, intégrez-le à la pâte, juste en surface.

Enfournez pour 40′, vérifiez la cuisson avec un couteau.

Laissez refroidir un peu quand même avant de le déguster ???

Merci Rebelle Santé

Tarte aux oranges

Ne cherchez pas d’atouts nutritionnels, pour une fois c’est le plaisir avant tout ?

INGRÉDIENTS : POUR LA PÂTE
200 g de farine (T110 pour plus de fibres, minéraux et oligo-éléments)
50 g de poudre d’amande
100 g de sucre en poudre (complet type rapadura)
100 g de beurre
1/2 oeuf (25 g)

POUR LA CRÈME D’AMANDE
25 g de poudre d’amande
25 g de beurre mou
25 g de sucre en poudre (complet type rapadura)
1/2 oeuf (25 g)

POUR LA CREME A L’ORANGE
2 oeufs
50 g de sucre en poudre (complet type rapadura)
20 g de fécule de maïs (maïzena)
30 ml de lait ou boisson végétale (amande par exemple)
1 c. à soupe de Rhum
Le zeste d’une orange bio

POUR LA GARNITURE
1 kg d’oranges à déguster bio (un peu de sanguines si vous pouvez)

PRÉPARATION : LA PÂTE

Versez la farine, la poudre d’amande et le sucre dans un saladier. Ajoutez le beurre en petits morceaux et mélangez en effritant du bout des doigts. Lorsque la pâte est sablonneuse, ajoutez les 25 g d’oeuf et travaillez la pâte jusqu’à ce qu’elle forme une boule.
Etalez-la et disposez-la dans un moule à tarte d’environ 25 cm de diamètre. Coupez l’excédent des bords et placez le plat au frais 30 minutes.

PRÉPAREZ LA CRÈME D’AMANDE
Préchauffez votre four à 200°C.
Mélangez la poudre d’amande, le sucre, le beurre mou et les 25g d’oeuf dans un bol jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène. Répartissez sur le fond de pâte.
Enfournez et laissez cuire 25 à 30 minutes.

PRÉPAREZ LA CRÈME A L’ORANGE
Dans un saladier, fouettez les oeufs, le sucre en poudre, les zestes d’orange et la fécule.
Versez le lait dans une casserole et faites chauffer jusqu’à ébullition (surveillez bien pour éviter tout débordement).
Versez le lait chaud dans le bol tout en remuant. Lorsque le mélange est homogène, reversez le tout dans la casserole et faites chauffer à feu doux tout en remuant constamment jusqu’à épaississement.
Hors du feu, incorporez le rhum.
Répartissez cette crème sur le fond de pâte cuit et laissez refroidir.

DRESSEZ LA TARTE
Pelez les oranges, ôtez les pépins s’il y en a et coupez-les en tranches. Disposez-les joliment sur la crème.
Conservez cette tarte au frais en attendant de la déguster.

Merci Monquotidienautrement

Galettes aux potiron, chou-fleur rôti, crème aux épices

Le potiron se décline vraiment sous de multiples formes ! Ici nous avons choisi de l’utiliser pour réaliser de succulentes galettes ? Le potiron s’associe à merveille avec le chou-fleur, pour une délicieuse recette de saison.

Ingrédients (4 personnes)

  • 1/2 potiron
  • 1/2 choux fleur
  • 150g de crème végétale
  • 100g de pois chiches cuits et égouttés
  • 75g de farine de maïs
  • 75g de flocons d’avoine
  • 2 œufs
  • 2 branches de persil
  • 1 cuillère à soupe de miel
  • 3 cuillères à soupe d’huile d’olive
  • Des épices selon vos goûts : ras el hanout, piment doux, cumin, etc.

Etapes

1. Préchauffez votre four à 190°C. Dans un bol, mélangez les pois chiches l’huile d’olive et les épices de votre choix. Salez et poivrez.

2. Etalez les pois chiches sur une plaque recouverte de papier sulfurisé. Faites cuire au grill environ 10 minutes. Arrêtez la cuisson lorsqu’ils sont bien dorés et qu’ils craquent sous la dent !

3. Pendant la cuisson des pois chiches, coupez le 1/2 potiron en morceaux et récupérez les têtes de chou-fleur. Faites cuire le potiron et le chou-fleur environ 15 minutes dans une grande casserole d’eau bouillante salée. Egouttez et réservez le bouillon de légumes.

4. Réalisez l’appareil à galettes : mélangez au blender ou au fouet les œufs, la farine, les flocons d’avoine, 50 g de potiron cuit, des épices, et 100 ml du bouillon de légumes.

5. Préparez maintenant la crème aux épices : mélangez la crème avec le persil haché, une pincée de cumin, une pincée de ras el hanout et une pincée de piment doux (vous pouvez remplacer par les épices que vous aimez). Salez légèrement et poivrez.

6. Faites légèrement dorer le potiron et le chou-fleur à la poêle avec le miel, un peu d’huile d’olive et des épices.

7. En parallèle, faites cuire les galettes en les étalant à l’aide d’une spatule dans une poêle à crêpes sur une épaisseur de 2/3 mm afin de pouvoir les garnir ensuite.

Pour le dressage : tartinez vos galettes encore chaudes de sauce puis disposez joliment vos légumes. Terminez avec quelques pois chiches grillés !

? Avec les restes du potiron et du chou-fleur, vous pouvez faire une délicieuse soupe : les deux se marient très bien ensemble !

Merci Yuka

Crumble salé au chou-fleur et aux épinards

Sans gluten, ce crumble de saison est la recette parfaite pour un repas plein de gourmandise ! Le chou-fleur et les épinards vous apporteront une bonne quantité de fibres, que nous ne consommons bien souvent pas en quantité suffisante.

Ingrédients (6 personnes)

Pour les légumes :

  • 1/2 chou-fleur
  • 600 g de pousses d’épinard
  • 1 gousse d’ail dégermée et hachée
  • 2 cuillères à soupe d’huile d’olive
  • 15 cl de crème de soja
  • Sel, poivre, muscade (et les épices de votre choix)

Pour la pâte à crumble :

  • 60 g de farine de riz
  • 30 g de farine de sarrasin
  • 40 g de beurre pommade (mou)
  • 30 g de feta
  • Sel, poivre

Étapes

  1. Lavez les légumes. Récupérez les têtes du chou-fleur.

2. Faites blanchir les têtes de chou-fleur 5 minutes dans de l’eau bouillante salée. Puis, égouttez-les.

3. Faites sauter les épinards avec un peu d’ail haché et d’huile d’olive. Puis, ajoutez le chou-fleur, la crème de soja et les épices de votre choix.

4. Réalisez votre pâte à crumble en émiettant ensemble la farine de riz, la farine de sarrasin, la feta et la margarine végétale. Assaisonnez avec du sel et du poivre.

5. Dans un grand plat à gratin ou des cassolettes individuelles, ajoutez le mélange de légumes. Saupoudrez de pâte à crumble et enfournez à 180°C environ 25 minutes, jusqu’à ce que ce soit légèrement doré.

Pour un peu de fraîcheur et de croquant, vous pouvez servir ce crumble salé avec une petite salade de pousses d’épinards, de pommes et de cerneaux de noix.

Bon appétit ?

Merci Yuka

Banana bread paléo

Voici une recette paléo de cake à la banane, ou banana bread, idéale pour vos collations ou votre petit-déjeuner !

Ingrédients :

  • 200 g de poudre d’amandes
  • 100 g de purée d’amandes
  • 3 bananes bien mûres
  • 3 œufs
  • 2 cuillères à soupe de miel
  • 50 g d’huile de coco
  • 1 cuillère à café de bicarbonate alimentaire

Préparation :

  1. Préchauffez votre four à 170°C.
  2. Commencez par peler et écrasez les bananes à l’aide d’une fourchette dans un saladier. Ajoutez les 3 œufs et mélangez bien.
  3. Si elle est solide, faites fondre l’huile de coco au micro-onde, puis incorporez-la à la préparation. Ajoutez ensuite la purée d’amandes, et mélangez pour que la pâte soit bien homogène.
  4. Pour finir, ajoutez la poudre d’amandes et le bicarbonate alimentaire et mélangez.
  5. Placez dans un moule à cake. Enfournez environ 40 minutes.

Vous pouvez vérifier la cuisson à l’aide d’une pointe de couteau, elle doit ressortir lisse du gâteau pour indiquer qu’il est cuit.

Laissez tiédir avant de démouler et de déguster.

Merci LaVieNaturelle

Gâteau sans gluten chocolat-châtaignes

Ce gâteau gourmand, même s’il est sans gluten, reste très riche. A ne pas consommer toutes les semaines ?

Préparation : 15 min

Ingrédients

Pour le gâteau (6-8 personnes) :

  • 400 g de châtaignes cuites et pelées
  • 100 g de sucre complet en poudre (il est possible d’en mettre max 50g selon votre palais)
  • 100 g de beurre coupé en cubes (ou ghee ou huile d’olive)
  • 100 g de chocolat noir à 70% de cacao minimum, coupé en morceaux (je vous conseille plutôt 85%)
  • 3 c. à s. boisson végétale (amande ou noisette, sans sucres ajoutés, sera parfait)
  • 1 c. à c. d’extrait de vanille
  • 2 c. à c. de cognac (facultatif ?)

Pour le glaçage (facultatif – pour les grands gourmands)

  • 100 g de chocolat noir à 70% de cacao minimum
  • 25 g de beurre 
  • 1 c. à s. de crème fraîche liquide (ou crème végétale)

Préparation

Mettre les châtaignes dans un robot-mixer avec le sucre, puis les mixer jusqu’à ce qu’elles soient assez lisses.

Mettre le beurre et le chocolat dans une casserole avec le lait, puis faire chauffer doucement, en remuant, jusqu’à ce qu’ils soient fondus et le mélange bien lisse.

Incorporer la vanille et le cognac. Ajouter cette préparation au mélange de châtaignes dans le robot, puis mixer à nouveau jusqu’à ce que le mélange soit lisse.

Recouvrir un petit moule à gâteau ou à cake légèrement beurré de film alimentaire, puis verser la pâte dedans.

Lisser le dessus, puis couvrir le moule avec du film alimentaire. Mettre au frais pendant 24 h.

Pour servir, démouler le gâteau sur une assiette plate ou une planche. Retirer le film alimentaire.

Glaçage : faire fondre doucement le chocolat, le beurre et la crème pour le glaçage, puis les étaler sur le dessus et les côtés du gâteau. Remettre au réfrigérateur pour qu’il prenne. Servir frais.

Merci LaNutrition.fr

Pancakes de sarrasin

Préparation : 10 min
Cuisson : 12 min

Ingrédients 

Pour 24 pancakes :

  • 3 œufs, séparés
  • 1 c. à s. de sucre complet (non raffiné)
  • 150 g de farine de sarrasin
  • 1 pincée de sel
  • 1 tasse (250 ml) de lait ribot (fermenté)
  • 2 c. à s. de ghee (beurre clarifié – à défaut : du beurre)

Préparation

À l’aide d’un batteur électrique, fouettez les blancs d’œufs dans un bol jusqu’à ce qu’ils forment des becs. Ajoutez graduellement le sucre, en fouettant jusqu’à ce qu’il soit dissous et que le mélange soit ferme. (Comme la farine de sarrasin peut parfois devenir dense et légèrement moelleuse dans les produits de boulangerie, les blancs d’œufs sont montés séparément et incorporés à la pâte à la fin pour inclure l’air et produire des pancakes moelleux). 
Dans un autre bol, tamisez ensemble la farine et le sel. Faites un creux au centre et ajoutez les jaunes d’œufs et le lait ribot. À l’aide d’une grande cuillère en métal, remuez de l’intérieur vers l’extérieur pour incorporer la farine jusqu’à ce qu’elle soit juste combinée, mais pas lisse. Incorporez rapidement et légèrement les blancs d’œufs en évitant de trop mélanger. Le mélange aura l’air grumeleux mais cela indique que la pâte contient de grosses bulles d’air emprisonnées, ce qui créera des pancakes mous et moelleux. 
Couvrez la pâte d’un torchon et laissez-la reposer pendant 10 minutes. 
Faites chauffer une poêle à feu moyen, ajoutez 1 c. à c. de ghee et faites tourner la poêle pour l’étaler uniformément. Ajoutez des cuillères à soupe de pâte dans la poêle chaude, en laissant de la place pour qu’elles s’étalent. Faites cuire les pancakes jusqu’à ce qu’ils soient pris et que de minuscules bulles apparaissent à la surface (environ 30 secondes), puis retournez-les pour les faire cuire jusqu’à ce qu’ils soient dorés (1 à 2 minutes supplémentaires). 
Placez-les sur une assiette et couvrez-les pour les garder au chaud. Répétez l’opération en ajoutant du ghee jusqu’à ce que toute la pâte soit utilisée.

Merci LaNutrition.fr

Gaufres salées à la patate douce

Ces petites gaufres salées sont parfaites pour un repas ou un brunch ? 

Elles sont réalisées avec de la patate douche, qui est riche en bêta-carotène, un antioxydant qui lui donne sa couleur orangée. 

Si vous n’avez pas de gaufrier, faites cuire la pâte comme une galette, à la poêle avec un peu d’huile d’olive.

Ingrédients pour 15 petites gaufres

  • 2 œufs
  • 400g de patates douces (environ 2 patates)
  • 300g de farine de petit épeautre
  • 1/2 sachet de levure chimique
  • 2 c.s d’huile d’olive
  • Sel, poivres, ail semoule, herbes de Provence, cumin

Étapes

1. Épluchez les patates douces, coupez-les en cubes et faites-les cuire dans de l’eau bouillante pendant 20 minutes.

2. Pendant ce temps dans un saladier, mélangez la farine, la levure et les œufs.

3. Une fois les patates cuites, écrasez-les avec une fourchette ou un écrase purée.

4. Ajoutez les patates à la préparation avec l’huile d’olive et les épices.

5. Mélangez le tout jusqu’à obtenir une pâte, puis formez de petites boules de pâte et faites cuire au gaufrier.

6. Vous pouvez accompagner vos gaufres avec de l’avocat, de la feta, ou encore du saumon.

Bonne dégustation ?

Merci Yuka

Soupe aux pois à l’indienne

Préparation 10 minutes / Cuisson 45 minutes
Pour 6 portions

• 1,5 tasse de pois verts cassés (300 g)
• 1 c. à soupe d’huile végétale (15 ml)
• 1 oignon (200 g)
• 1 c. à soupe de gingembre frais râpé (14 g)
• 1/2 c. à café de curcuma (2 g)
• 1/2 c. à café de poudre de curry (2 g)
• 1/8 c. à café de piment de Cayenne (0,4 g)
• 2 clous de girofle ( 0,1 g)
• 4 tasses de bouillon de légumes, faible en sel (1 L)
• 3 c. à soupe coriandre fraîche (facultatif) (6 g)
• 1,5 c. à soupe de jus de citron
• 2 gousses d’ail
• Sel (facultatif)
• Poivre au goût

Avant de commencer

Il n’est pas nécessaire de faire tremper les pois cassés à l’avance.

Méthode

1. Bien rincer les pois cassés à l’eau froide et les égoutter.
2. Chauffer l’huile dans une casserole à feu moyen. Y faire revenir l’oignon finement haché, en remuant régulièrement, 4 à 5 minutes, jusqu’à ce que l’oignon soit translucide.
3. Ajouter l’ail pressé ou émincé, le gingembre râpé, les épices et les clous de girofle. Cuire l’ensemble 1 minute en remuant.
4. Ajouter les pois et le bouillon. Saler et poivrer si besoin.
5. Porter à ébullition, réduire le feu et laisser mijoter à découvert 45 minutes, jusqu’à ce que les pois soient défaits.
6. Ajouter le jus de citron et vérifier l’assaisonnement.
7. Si désiré, réduire en purée au mélangeur. Servir dans les bols et garnir de feuilles de coriandre (facultatif).

Les pois cassés sont riches en protéines végétales. Cette recette sera complétée par une portion de légumes, et éventuellement d’une portion de céréales (quinoa, riz, épeautre …) afin d’être parfaitement équilibrée.

Merci Plantes et Santé

Wraps de sarrasin, saumon et mousse d’avocat

Cette recette a été concoctée par deux spécialistes de la nutrition des sportifs. Elle représente un plat complet, facile à emporter un jour d’entraînement ou d’épreuve sportive. Cerise sur le gâteau : elle ne comporte ni gluten, ni lait. C’est parti !
PS : pas besoin d’être sportif pour la déguster ?

Préparation : 30 min

Cuisson : 20 min

Ingrédients pour 10 galettes :

Pour les galettes

  • 300 g de farine de sarrasin complète
  • 1 oeuf
  • 75 cl d’eau
  • 1 pincée de sel

Pour la mousse d’avocat

  • 2 avocats bien mûrs
  • 1 poignée de mâche
  • 2 gousses d’ail
  • 2 c. à s. d’oignon rouge haché
  • 1 c. à s. de curcuma
  • 1 c. à s. d’huile d’olive
  • 4 c. à s. d’eau froide
  • 1 jus de citron
  • Sel, poivre
  • 1 cm de gingembre frais haché

Pour la garniture

  • Un peu de mâche
  • 2 grandes feuilles d’algue kombu (facultatif )
  • 10 tranches de saumon fumé
  • Wasabi (facultatif )

Préparation des wraps
Dans un saladier, mélanger la farine de sarrasin et l’oeuf. Ajouter l’eau froide puis le sel. Laisser reposer 1 h au frais.
Dans une poêle à crêpe, faire chauffer de l’huile d’olive et cuire les wraps de sarrasin (comme une crêpe). Réserver et laisser refroidir.
Préparation de la mousse
Dans un mixer, mélanger tous les ingrédients de la mousse. Goûter et assaisonner. Laisser reposer au frais.
Assemblage
Disposer un wrap sur le plan de travail. Étaler une fine couche de mousse d’avocat sur une moitié du wrap.
Déposer quelques feuilles de mâche puis disposer au-dessus une lamelle de kombu de 2 cm de large (préalablement réhydratée dans un grand volume d’eau).
Mettre sur la préparation la tranche de saumon. Pour les amateurs, ajouter un peu de wasabi (sans excès !). Rouler le wrap. Faire la même chose pour les suivants. Réserver au frais avant dégustation.

Merci Thierry Souccar

Gratin de courge, chèvre et quinoa

Ingrédients (6-8 personnes)

  • 1 oignon
  • 1 petite courge, type butternut
  • 200 g de quinoa
  • 3 œufs
  • 25 cl de crème de soja
  • 2 crottins de chèvre
  • 20 g de graines de courges
  • Huile d’olive
  • Sel, poivre, les épices de votre choix (muscade, raz el hanout, cumin…)

Etapes

1. Retirez la peau de la courge. Videz-la et taillez-la en petit cubes. Émincez l’oignon.

2. Faites cuire votre quinoa dans 2 fois son volume d’eau froide salée. Portez à ébullition, baissez le feu puis laissez cuire 10 minutes. Egouttez.

3. Faites revenir les dés de courge avec les oignons dans 3 cuillères à soupe d’huile d’olive environ 20 minutes à feu doux. Lorsque le mélange est fondant, ajoutez le quinoa et les épices de votre choix.

4. Dans un saladier, battez les œufs avec la crème, du sel et du poivre.

5. Disposez dans votre plat à gratin (ou vos plats individuels) le mélange de courge et quinoa. Ajoutez au-dessus les œufs battus puis le chèvre coupé en morceaux et enfin les graines de courges.
Faites cuire au four environ 20 à 25 minutes à 180°C, en fonction de la taille du plat. C’est prêt lorsque le gratin est bien doré !

Bon appétit ?

Merci Yuka

Tian aux légumes d’hiver

Besoin de réconfort ? Ce tian hivernal aux douces saveurs de miel ravira vos papilles ? Faites le plein de fibres et de vitamines avec ces carottes et chou-fleur rôtis sur leur lit d’oignons confits.

Ingrédients (6 personnes)

  • 3 oignons blancs 
  • 1 botte de carottes fanes
  • 1/2 chou-fleur 
  • Huile d’olive 
  • 2 cuillères à soupe de miel
  • 2 cuillères à soupe de vinaigre balsamique 
  • Du thym, du sel, du poivre
  • 50 g de noisettes (facultatif)
  • Huile de noix (facultatif)

Étapes

1

Lavez et épluchez les légumes. Ciselez finement les oignons et taillez les carottes en deux dans la longueur. Coupez le chou-fleur en bouquets.

2

Dans une poêle, faites revenir à feu doux les oignons dans 2 cuillères à soupe d’huile pendant environ 20 minutes, en remuant de temps en temps. Ajoutez ensuite une cuillère à soupe de miel, le vinaigre balsamique, du sel, du poivre. Laissez confire sur feu doux environ 10 minutes. Remuez régulièrement et ajoutez un petit fond d’eau si le confit accroche trop. Lorsque les oignons sont fondants, réservez.

3

Faites bouillir une casserole d’eau salée. Ajoutez-y les carottes puis, au bout de 10 minutes, les bouquets de choux-fleur et prolongez la cuisson 5 minutes supplémentaires.

4

Mettez les légumes égouttés dans un saladier puis assaisonnez-les avec du sel, du poivre, du thym, une cuillère à soupe de miel et deux cuillères à soupe d’huile d’olive.

5

Disposez au fond d’un plat à gratin le confit d’oignon. Ajoutez les légumes par-dessus et enfournez environ 20 minutes au four à 180°C.

Avant de servir, vous pouvez ajouter quelques noisettes et un filet d’huile de noix, riche en oméga-3.

Bon appétit ?

Astuce : vous pouvez également parsemer de la grenade sur le plat, actuellement de saison, pour un peu d’acidité et bénéficier de ses antioxydants.

Avec le reste de chou-fleur, vous pourrez réaliser un velouté de chou-fleur au lait de coco, des galettes au potiron, chou-fleur rôti et crème aux épices, une tarte au chou-fleur et chèvre frais… ou tout simplement le déguster cru avec une sauce au yaourt.

Merci à Yuka !