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Auteur/autrice : Anne-Lise Collet

Barre de quinoa et gingembre

Voici une recette de barre facile à préparer, à digérer, et sans gluten !

Préparation : 5 min
Cuisson : 20 min

Ingrédients pour 3 barres (n’hésitez pas à en faire plus !)

  • 40 g de flocons de quinoa
  • 40 g de raisins secs
  • 40 g de miel
  • 10 g de gingembre frais grossièrement haché
  • Zeste et jus d’un demi-citron
  • Huile d’olive (pour les moules)

Préchauffer le four à 150°C. Huiler des moules à mini-cakes.
Mélanger tous les ingrédients. Répartir le préparation dans 3 moules et compacter pour que les barres se tiennent.
Enfourner et laisser cuire environ 20 min en surveillant la cuisson. Se conserve au sec quelques jours.

Source

Pain aux lentilles et aux graines

Réalisé en quelques minutes, ce pain à base de graines trempées (plus digestes) est le parfait compromis entre efficacité et alimentation saine. Il plus riche en protéines qu’un pain classique et est naturellement sans gluten (si sans avoine ou seigle parmi les graines proposées). Que demander de plus ?

Pour 1 pain

Préparation 10′ – Cuisson 1h10

Ingrédients

125ml de lentilles de votre choix

125ml de sarrasin

125ml de millet ou riz, avoine, seigle, quinoa

4 càs de téguments de psyllium blond

125 + 125 ml d’eau

1 càc rase de bicarbonate de soude alimentaire

1/2 càc de sel de mer (facultatif)

2 càs de vinaigre de cidre

Recette

1/ La veille, faites tremper les lentilles, le sarrasin, le millet dans un grand volume d’eau

2/ Le matin même, préchauffez le four à 160°C. Huilez ou chemisez le moule.

3/ Versez les lentilles et les graines dans une passoire, rincez-les et égouttez-les.

4/ Dans un bol, mélangez les téguments de psyllium et 125 ml d’eau, laissez gonfler 10′.

5/ Mixez l’ensemble des ingrédients, à l’exception du vinaigre, avec les 125 ml d’eau restants, jusqu’à obtenir une texture homogène. Ajoutez le vinaigre et mixez à nouveau.

6/ Versez l’appareil dans le moule à cake et enfournez pendant 1h10.

7/ Au bout de 30′, ouvrez le four et entaillez le pain sur toute sa longueur. Cette étape importante permet d’éviter que l’air ne s’accumule sous la croûte et que le pain ne devienne creux ! Poursuivez la cuisson 40′ supplémentaire.

8/ Laissez le pain tiédir avant de démouler.

Risotto de topinambours et champignons

Le risotto aussi nommé en Italie « risotto alla Milanaise » est un plat typique de l’Italie du Nord et plus précisément de la région de Milan. Préparé à base de riz rond, de bouillon, d’oignons, de vin blanc et de parmesan, le tout revenu dans de l’huile d’olive et agrémenté de beurre pour un résultat crémeux.

Les recettes de risotto se déclinent à l’infini et se préparent au dernier moment pour plus d’onctuosité.

Quelques mots sur le topinambour…

Le topinambour est un tubercule originaire d’Amérique du Nord, aussi appelé artichaut de Jérusalem, truffe du Canada, soleil vivace ou encore « poire de terre ». Le nom de topinambour résulte d’une erreur de longue date. Il vient de la francisation du nom d’une tribu du Brésil, les Tupinambas, dont plusieurs membres furent amenés comme curiosité à Paris en 1613, en même temps que le topinambour commençait à gagner une place dans les potagers de l’époque.

Le topinambour est une plante vivace qui appartient à la même famille que celle du tournesol. Le topinambour ne demande que quelques minutes de préparation : il suffit de le rincer sous l’eau puis de le brosser soigneusement. Il est possible de le peler à l’économe avant cuisson tout simplement. Une fois pelé, bien le citronner pour éviter qu’il ne s’oxyde.

Le topinambour est peu calorique et source de fibres. Il contient en particulier, de l’inuline, une fibre fermentescible qui exerce plusieurs actions bénéfiques dans le côlon, dont celles de régulation du transit. L’inuline donne aussi au topinambour sa saveur sucrée. Bien doté en potassium et pauvre en sodium, le topinambour contribue à stimuler l’élimination.

Une recette de risotto prête en 30 minutes

Cette recette est proposée pour 4 personnes.

Ingrédients :

  • 150 g de champignons déshydratés (shiitakés, cèpes déshydratés, pleurotes …)
  • 200 g de topinambours
  • 1 petit oignon jaune
  • 4 c. à soupe d’huile d’olive
  • 400 g de riz spécial risotto (arborio ou Carnaroli)
  • 1 l de bouillon de volailles ou de légumes peu salé de préférence
  • 100 ml de vin blanc sec (pas obligatoire)
  • 100 g de crème végétale si possible (ou de fromage frais aux herbes)
  • 25 g de parmesan
  • (sel), poivre

Recette :

Réhydratez les champignons dans un bol d’eau pendant 15 minutes. Coupez-les en morceaux.

Brossez les topinambours sous l’eau et plongez-les dans l’eau bouillante salée pendant 10 minutes. Laissez-les refroidir. Grattez-les, passez-les sous l’eau et coupez-les en morceaux. Épluchez, dégermez et émincez l’oignon. Faites-le revenir dans une cocotte avec l’huile d’olive pendant 2 minutes. Ajoutez les topinambours, les champignons.

Mouillez avec le vin blanc. Ajoutez le riz préalablement rincé et le sel. Mélangez délicatement et laissez cuire ainsi 3 minutes. Faites chauffer le bouillon dans une casserole. Ajoutez-le louche par louche, en attendant que le liquide soit absorbé avant de verser la suivante. Procédez ainsi jusqu’à cuisson du riz. Ajoutez le parmesan et la crème (ou le fromage) avec la dernière louche. Servez aussitôt.

Merci Bioconsomacteurs

Pesto de chou kale et noisettes

Temps de préparation : 20 minutes

Vous pouvez utiliser ce pesto de la même façon que le pesto traditionnel : dans vos pâtes, sur une pizza, sur une bruschetta, et pour les plus courageux, sur une bonne tartine le matin …

Ingrédients

  • 100 g de chou kale
  • 100 ml d’huile d’olive
  • 25 ml d’huile de noisette
  • 50 g de noisettes entières
  • 1 gousse d’ail
  • 50 g de parmesan
  • 1 pincée de fleur de sel

Instructions

Rincez les feuilles de chou. Déchirez les feuilles pour éliminer les tiges. Mettez tous les ingrédients dans le bol de votre mixeur et mixez jusqu’à l’obtention d’un pesto homogène.

Régalez-vous !

Vous pouvez le conserver au frais dans un bocal hermétique pendant 3 semaines.

Merci MonQuotidienAutrement

En forme en janvier : faites une cure de pollen frais !

(Retrouvez un carnet de bonnes adresses et un code pour ne pas payer de frais de port à la fin de cet article ?)

Le pollen frais : un aliment produit par les plantes et enrichi par les abeilles

En butinant les fleurs, les abeilles récoltent le pollen des étamines. Elles forment alors des pelotes de pollen qu’elles enrichissent en lacto-ferments et qu’elles placent dans les corbeilles situées sur leurs pattes arrières. Par son action pollinisatrice, l’abeille assure plus de 70% de la biodiversité végétale.De retour dans la ruche, elles traversent des grilles et laissent échapper quelques pelotes de pollen qui tombent dans un tiroir. Aussitôt récolté par l’apiculteur, le pollen est congelé pour être ensuite analysé, contrôlé et conditionné par Pollenergie.On trouve sur le marché du pollen sec en bocaux. Après récolte, ce pollen est séché par ventilation chaude, permettant d’obtenir un produit presque complètement dépourvu en eau qui se conservera longtemps à  température ambiante. L’inconvénient de cette technique réside dans la perte d’une partie importante de la qualité nutritionnelle de ce produit avec le chauffage.

Pourquoi la congélation pour le pollen frais ?

Le pollen frais est un aliment cru, vivant, très complet et complexe qui en association avec une alimentation normale équilibrée contribue à assurer le confort, le bien-être et la santé des individus qui en consomment régulièrement. Il se dégrade très rapidement à l’air et à température ambiante. Si on le sèche, beaucoup de ses micronutriments  sensibles à la chaleur sont détruits. Les études scientifiques ont évalué l’impact des différents modes de conservation (frais congelé, séché à 5°C, séché à 40°C, lyophilisé) et l’effet du vieillissement sur l’évolution de la flore lactique de pollens monofloraux.  Ces études ont démontré que le mode de conservation congelé à l’état frais est celui qui préserve le mieux les ferments lactiques des pollens et les micronutriments sensibles sensibles à la chaleur et à la dessiccation, comme les caroténoïdes.

Caractéristiques nutritionnelles moyennes du pollen frais

Sans détailler l’ensemble de l’analyse nutritionnelle de chaque pollen, nous pouvons citer que les pollens contiennent :
– de 15 à 22 % de protéines,
– de 4 à 6 % de lipides, représentés jusqu’à 50 % par des acides gras polyIinsaturés
– de 50 à 60 % de glucides
– de 10 à 14 % de fibres
– une quantité très importante de ferments lactiques (mais uniquement dans les pollens frais car le processus de séchage détruit complètement ces ferments)
– une très grande richesse en vitamines
– comme tous les végétaux, ils sont très riches en minéraux et oligo-éléments (calcium, fer, magnésium, phosphore)
– les pollens sont également très riches en micro-constituants antioxydants (caroténoïdes et polyphénols) symbolisés par des valeurs d’ORAC qui peuvent selon les pollens être jusqu’à 10 fois supérieures à celles des fruits et des légumes
– enfin, plus de 80 enzymes ont été identifiées dans le pollen frais uniquement.

ACTIONS DES POLLENS FRAIS

Lorsqu’il est frais, le pollen est un aliment très complet. Associé avec une alimentation normale, il peut prévenir et/ou contribuer à combler certaines déficiences en micronutriments et à lutter contre l’apparition de nombreuses pathologies. La consommation régulière de pollen congelé à l’état frais aide à la bonne marche de nombreuses fonctions organiques.
S’il existe des différences nutritionnelles notables entre pollens d’origines florales différentes, tous présentent des propriétés communes.  
REGAIN D’ÉNERGIE Grâce à sa concentration en protéines végétales, fibres, vitamines, minéraux et oligo-éléments, le pollen contribue à la réduction de la fatigue, dynamise l’organisme et améliore sa résistance.   Les pollens frais ont une teneur en protéines comprise entre 15 et 35 % selon leur origine botanique, une teneur supérieure à toutes les sources végétales et même à certaines sources animales comme les œufs. Ces protéines sont d’excellente qualité avec des teneurs en Acides Aminés Essentiels (AAE) très intéressantes : stimulateur de la synthèse protéique, modulateur de l’état inflammatoire, améliorateur de l’état de la muqueuse intestinale…     RÉGULATION DE LA FONCTION INTESTINALE Les lactoferments du pollen congelé à l’état frais, associés aux fibres, aident au rétablissement d’une flore intestinale de qualité, permettant une meilleure absorption des macro et micronutriments de notre alimentation.   Le pollen est un aliment riche en fibres, une majorité insoluble, qui représentent pas loin de 50 % des Apports Journaliers Recommandés (AJR). Il est largement reconnu que les fibres alimentaires contribuent à améliorer l’état fonctionnel du système intestinal. Par ailleurs, le pollen – seulement lorsqu’il est frais – possède une grande quantité de ferments lactiques spécifiques de l’abeille qui contribuent à l’amélioration de la flore intestinale (effet probiotique).    
DÉFENSES NATURELLES Notre muqueuse intestinale concentre autour d’elle 60 à 70% du système immunitaire, prêt à faire face aux agressions liées aux agents pathogènes véhiculés par notre alimentation. Par conséquent, l’amélioration du système digestif entraine une amélioration des défenses naturelles. En rééquilibrant et renforçant la flore intestinale, le pollen congelé à l’état frais contribue au fonctionnement normal du système immunitaire.   Les pollens frais présentent un très bon rapport potassium/sodium (entre 14 et 18). Cet aspect leur confère un fort potentiel alcalinisant, très utile dans la lutte contre la déminéralisation. Les pollens contiennent aussi des phytostérols : molécules largement connues et utilisées pour limiter l’absorption du cholestérol et lutter contre l’hypercholestérolémie, facteur de risque des maladies cardiovasculaires.    
ANTIOXYDANT L’une des théories du vieillissement cellulaire est l’excès de radicaux libres dans l’organisme qui altèrent les macroéléments tels que les protéines, les lipides ou l’ADN, contribuant ainsi à leur dysrégulation. Avec l’âge, la production radicalaire augmente et à l’inverse les défenses antioxydantes diminuent.   Les pollens, surtout s’ils sont frais, sont riches en vitamines et autres molécules antioxydantes, en minéraux et oligoéléments (vitamines C et E, polyphénols et caroténoïdes). Ils obtiennent les plus hautes valeurs de pouvoir antioxydant in vitro (TEST ORAC* pour le pollen de châtaignier 10 fois supérieur au raisin par exemple).

Carnet d’adresses :

Pollen frais – indiquez le code 67CA01 pour ne pas payer les frais de port ?

N’hésitez pas à me contacter pour toute question !

Soupe dahl aux épinards

Pas besoin de chercher très loin avec cette recette : les lentilles corail sont très simples et rapides à préparer. Il vous faudra juste quelques épices, des épinards que vous pouvez prendre surgelés, une conserve de tomates et une autre de lait de coco. Et le tour est joué !

Ingrédients : 200 g de lentilles corail • 1 c. à soupe huile végétale • 1 petit oignon, haché finement • 2 gousses d’ail émincées • 1 c. à soupe de gingembre frais, râpé • 1/2 c. à thé de cumin en poudre • 1/2 c. à thé de poudre de curry • 1/2 c. à thé de cannelle • 1/8 c. à thé de piment de Cayenne • sel et poivre • 1 l de bouillon de légumes • 200 g de tomates en conserve • 170 g d’épinards hachés • 170 ml de lait de coco non sucré • 1 citron vert pressé en jus • 3 c. à soupe de coriandre fraîche hachée.

Méthode :

  1. Rincer les lentilles à l’eau froide et les égoutter.
  2. Chauffer l’huile dans une casserole à feu moyen. Faire revenir l’oignon dans la casserole, en remuant régulièrement, 2 à 3 minutes, jusqu’à ce qu’il soit translucide. Ajouter l’ail, le gingembre et les épices. Cuire une minute en brassant. Ajouter les lentilles, le bouillon et les tomates en dés. Saler et poivrer.
  3. Porter à ébullition, réduire le feu et laisser mijoter à découvert jusqu’à ce que les lentilles soient défaites, compter 15 à 20 minutes. Ajouter les épinards et laisser mijoter, jusqu’à ce qu’ils soient flétris, environ 3 minutes. Ajouter le lait de coco, le jus de citron vert (ou jus de lime) et vérifier l’assaisonnement.
  4. Garnir de feuilles de coriandre et servir.

Merci Plantes et Santé

Brownies vegan aux lentilles

En voilà une association inattendue ! Lentilles, chocolat et noix (beurre et cerneaux), un combo du tonnerre pour un dessert original et (presque) sain ??

Voici déjà la recette (8 portions), retrouvez des explications sur les ingrédients ensuite.

Ingrédients : 90 g de lentilles blondes ou rosées • 3 c. à soupe d’huile végétale (olive, coco …) • 3 c. à soupe de sirop d’érable (ou d’agave) • 100 g de chocolat amer (noir à + 70% cacao), haché grossièrement • 150 g de sucre complet (voire moins !) • 1 c. à thé d’arôme vanille • 80 g de beurre de noix (à faire soi-même, voir ci-dessous) • 30 g de farine mini T80 • 1/2 c. à thé de sel • 1 c. à thé de levure chimique • 100 g de cerneaux de noix, hachés

Recette : 

  1. Tapisser de papier cuisson un moule carré de 20 cm.
  2. Cuire les lentilles à l’eau al dente. Laisser refroidir, puis égoutter et mettre les lentilles dans un robot culinaire. Mélanger jusqu’à obtention d’une purée. Réserver.
  3. Mettre l’huile et le sirop d’érable au bain-marie, avec le chocolat haché et remuer pendant que le chocolat fond. Incorporer hors du feu le sucre et la vanille. Ajouter le beurre de noix, la farine, le sel, et la purée de lentilles. Mélanger et incorporer les noix hachées.
  4. Verser dans le moule. Cuire au four à 180 °C, environ 35 minutes. Vérifier avec un cure-dent que le centre du moule ne soit pas mou ou mouillé.
  5. Laisser refroidir 15 minutes avant de trancher et servir. Certains préfèrent laisser reposer les brownies une nuit au frais et les déguster le lendemain … c’est à vous de voir ?

L’association des lentilles avec le beurre de noix permet de se passer de beurre. En outre, il enrichit cette recette en protéines (végétales), ce qui ne gâche rien. Le beurre de noix est très simple à confectionner mais demande un peu de patience (environ 15′ si l’on fait les choses correctement). Il suffit de mettre la quantité souhaitée dans un blender, puis de mixer par plages de 40 secondes environ. Ainsi, cela permet de ne pas trop chauffer la noix et donc de conserver ses qualités nutritionnelles. Mixez jusqu’à la consistance désirée. Suivant la texture de vos noix, il vous faudra peut-être rajouter un peu d’huile (noix, sésame, olive ou tournesol oléique).

Bon appétit !

Merci Plantes & Santé

Dis-moi à quelle heure tu te réveilles, je te dirai qui tu es

Vous vous réveillez toutes les nuits à la même heure ? La médecine traditionnelle chinoise connaît sûrement l’explication.


Nous dormons une heure et demie de moins qu’il y a cinquante ans ! Selon l’association France Insomnie, 30 % des Français seraient insomniaques et 10 % d’entre eux souffriraient d’une forme sévère. Un mal invisible, confiné dans la chambre à coucher, qui coûte chaque année deux milliards d’euros à l’assurance maladie. Les troubles du sommeil revêtent plusieurs formes, des difficultés d’endormissement aux réveils nocturnes en passant par le sommeil agité. En médecine traditionnelle chinoise, ils proviennent d’une seule et même cause : le déséquilibre du chi, l’énergie vitale qui régule les cycles yin-yang de la nature (y compris la nôtre).

Le calme empêché

En médecine chinoise, le temps du sommeil est indissociable de l’activité diurne, et inversement. La journée est dite « yang », car elle est – par essence – solaire, dynamique, chaude, mobile. La nuit est dite « yin » en raison de son caractère froid et immobile. Ces deux énergies entretiennent une relation d’interdépendance permanente. Elles ne s’opposent pas, mais se nourrissent l’une l’autre. On considère que le repos correspond à l’intériorisation du mouvement yang qui se résorbe, retourne à sa source pour y puiser la force de rejaillir le lendemain. Quand l’agitation du jour prend trop de place, le chi ne peut pas trouver le chemin de sa propre profondeur. L’abandon n’arrive pas et la fatigue s’accumule. Pour aider le corps et l’esprit dans cette danse, certaines précautions sont de mise, comme éviter les aliments tonifiants au dîner (condiments, alcool, viande rouge) et privilégier les plantes apaisantes comme la camomille. Le qi gong aide à éliminer les pensées et les émotions devenues inutiles en les dirigeant vers la terre. Comme une douche énergétique, la pratique fait le ménage dans l’esprit, ancre le corps et développe la gratitude, un ingrédient important pour accepter sa vie quelle qu’elle soit aujourd’hui et lâcher prise.

Le cadran des émotions

Dans le règne du yin, si le réveil nocturne représente un sursaut du yang, il est bien sûr possible de rétablir l’équilibre en identifiant l’organe responsable de la rupture du rythme. Grâce à la chronobiologie de la médecine traditionnelle chinoise, nous savons qu’un réveil entre 1 h et 3 h du matin est souvent imputable au foie, qui filtre et détoxine. Y a-t-il une impatience, un ressentiment difficile à évacuer ? Entre 3 h et 5 h, le poumon est concerné, un organe qui oxygène les cellules et la peau. Y a-t-il un sentiment d’abattement, d’étouffement ? Entre 5 h et 7 h vient le moment du gros intestin, chargé d’éliminer les déchets. Un réveil à cette heure-ci peut révéler un problème de digestion, mais aussi une difficulté à sortir de schémas anciens. Et avant minuit, c’est la vésicule biliaire qui parle.

Vous souffrez de troubles du sommeil ? Je peux vous aider ! Contactez-moi afin que nous fassions un bilan complet ensemble ☺️

SouVous vous réveillez toutes les nuits à la même heure ? La médecine traditionnelle chinoise connaît sûrement l’explication.rce

Rouleaux de choucroute crue

Pourquoi de la choucroute crue me direz-vous ?

Voici plein de raisons qui vous feront préférer la choucroute crue à la cuite (et je ne parle pas de l’accompagnement ?) :

✅ Un profil d’athlète au méga potentiel : la lactofermentation augmente la teneur en vitamines C, K, B, améliore la biodisponibilité des minéraux. Et baie de genièvre sur la choucroute, toute une petite colonie de probiotiques opère une pré-digestion. Une bonne nouvelle pour ceux qui adorent tous les choux en crudité et les regrettent après, sous l’emprise d’inopportuns ballonnements.

✅ Championne du cru, surtout n’allez pas la rincer ou la chauffer au risque de lessiver et d’occire ses précieux probiotiques. La température maxi ? Celle de votre corps. Votre flore intestinale vous dira merci.

✅ Aucune trace de lactose dans la lactofermentation bien que cela prête à confusion. La transformation par les bactéries du glucose en acide lactique explique cette dénomination.

✅ Un chouïa trop salée à votre goût ? Pressez-la légèrement pour éliminer un peu de saumure.

Voici maintenant une recette originale pour consommer votre choucroute crue

Les ingrédients pour 6 rouleaux :
150 g de carottes râpées
150 g de choucroute crue
1 échalote ciselée
12 brins de coriandre ciselés
150 g de pavé de truite fumée
50 g de fromage frais
30 g de cerneaux de noix
2 c. à s. d’huile de noix
6 feuilles de riz
Sel, poivre

Mélangez dans un bol les carottes, la choucroute, l’échalote, la coriandre, le fromage frais et l’huile. Salez, poivrez. Coupez le pavé de truite en 6 tronçons.

Trempez une feuille de riz dans un plat rempli d’eau tiède pendant une minute environ pour l’assouplir. Placez-la sur un torchon humide. Déposez au centre un peu de mélange de légumes, un tronçon de truite et quelques cerneaux. Roulez en rabattant les extrémités pour former un rouleau. Recommencez pour les cinq autres. Réservez au frais.

Savourez avec de la sauce soja ou une vinaigrette à l’huile et vinaigre de noix.

Merci La Ruche Qui Dit Oui

Tout savoir sur la noix et comment la cuisiner

La noix se révèle très protectrice, surtout lorsqu’elle est associée à un régime méditerranéen, riche en fruits et légumes, en huile d’olive et autres fruits oléagineux. Découvrez toutes ses vertus santé.

Un élément crucial d’une alimentation équilibrées

Avec peu de calories, les noix apportent de nombreux éléments nutritifs : oméga-3, vitamines du groupe B, manganèse, magnésium, zinc, cuivre, fer… qui peuvent être intéressants dans le cadre d’une alimentation équilibrée.
Certaines études ont montré son effet bénéfique sur la satiété grâce à sa richesse en fibres et en matières grasses de bonne qualité. Les fruits oléagineux et notamment les noix peuvent donc se substituer à des aliments riches en matières grasses dans l’alimentation.

Un allié de la santé cardiovasculaire

L’intérêt nutritionnel de la noix se trouve surtout dans la nature de ses graisses :

  • Une teneur élevée en acides gras poly-insaturés, notamment oméga-3 (acide alpha-linoléique) et un taux faible d’acides gras saturés
  • un pourcentage important d’acides gras mono-insaturés

C’est ce profil lipidique qui explique qu’elle est recommandée dans la prévention des maladies cardiovasculaires, des troubles métaboliques comme le diabète, mais aussi du cancer.

Utile contre les maladies inflammatoires

La noix est bonne source d’antioxydants, mais elle est aussi l’une des rares bonnes sources végétales d’oméga-3, nutriment connu pour ses propriétés anti-inflammatoires.
Or de nombreuses maladies sont en partie le résultat de l’inflammation et du stress oxydant (dyslipidémie, thrombose, syndrome métabolique, diabète de type 2, NASH, dégénération maculaire, maladie neurodégénérative, cancer, consommation de tabac…). Contre ces maladies, la consommation de noix semble utile.

Intéressante pour la santé intestinale

La richesse en fibres des noix est un atout pour améliorer le transit et lutter contre la constipation.
Les études sur ce sujet n’en sont encore qu’à leurs balbutiements, mais les noix, grâce à leur composition et à leurs fibres pourraient représenter un prébiotique de choix capable de nourrir les bactéries bénéfiques de l’intestin. 

Symbole d’un cerveau au top

La noix ayant une forme similaire à celle du cerveau, elle est soupçonnée depuis très longtemps d’être favorable à la santé de cet organe crucial. Ce que la science nutritionnelle a confirmé. La noix agit sur le cerveau de diverses manières :

  • En améliorant la santé cardiovasculaire, qui est elle-même un facteur de risque de maladies neurodégénératives et de déclin cognitif lié au vieillissement.
  • En réduisant le stress oxydatif et l’inflammation présents lors du vieillissement indépendamment des maladies grâce à ses polyphénols et ses tocophérols (de puissants antioxydants). De plus, ses acides gras poly-insaturés aident à maintenir l’intégrité et la souplesse des membranes des neurones ainsi qu’à atténuer l’agrégation des protéines bêta-amyloïdes impliquées dans la maladie d’Alzheimer. 

Les noix pourraient aussi, de par leur composition nutritionnelle, améliorer la vitesse de traitement des informations, la souplesse cognitive et la mémoire.

La noix en pratique

Comment choisir, cuisiner et conserver la noix ? Comment en retirer le maximum de plaisir et de bénéfices santé ?

Comment bien la choisir ?

À l’achat, vérifier qu’elle est assez lourde, avec les deux valves de la coque bien soudées, et sans traces de moisissures. Secouer les noix et choisir seulement celles qui ne font pas de bruit, si elles bougent c’est que le fruit est desséché.

Comment la conserver ?

  • Noix fraîche : à conserver au frais et à consommer rapidement
  • Noix sèche : à conserver quelques jours au sec

Comment la préparer ?

Pour vérifier si les noix ne sont pas desséchées avant de les ouvrir, mettre les noix dans l’eau froide et retirer celles qui remontent à la surface. L’utilisation d’un casse-noix est fortement conseillée pour venir à bout de la coque et avoir accès à la chair de la noix.

Comment la consommer et la cuisiner ?

La noix peut être consommée fraîche ou sèche, nature ou bien cuisinée dans des plats salés aussi bien que sucrés. Elle peut être dégustée entière, en morceaux ou en farine et chapelure dans des préparations comme les gâteaux. La noix peut aussi être consommée sous forme d’huile.
Les noix peuvent être cuisinées une dizaine de minutes au four ou sautées à la poêle (dans une poêlée de légumes par exemple).

Source

Connaissez-vous la levure maltée ?

Difficile de passer à côté de la levure de bière maltée : c’est la paillette star des végans. Mode d’emploi de ces flocons qui envahissent les assiettes.

Levure de bière maltée : une pépite en flocons !

Pour bien comprendre ce qu’est la levure maltée, il faut d’abord rappeler ce qu’est la levure de bière.

Ce champignon microscopique (de son vrai nom Saccharomyces cerevisiae) est notamment utilisé dans la fermentation de la bière.

On distingue deux types de levure : la levure dite « inactive », qui a perdu ses pouvoirs probiotiques à cause du séchage à haute température (mais qui conserve ses vertus nutritives), et la levure dite « active » ou « vivante », qui a conservé ses bienfaits probiotiques grâce à un séchage lent à basse température. Elle se présente sous différentes formes : en poudre, en comprimés ou en paillettes.

C’est d’ailleurs sous cette dernière forme que l’on trouve la levure de bière maltée.

Séchée à haute température, elle fait partie des levures « inactives » : elle n’a donc plus d’effets probiotiques. Et pourtant, elle mérite d’être parsemée un peu partout.

Pourquoi ? Parce qu’elle est bourrée de bonnes choses : protéines, minéraux et vitamines. C’est surtout pour sa grande teneur en vitamines du groupe B qu’elle est appréciée. Seules les personnes souffrant de la maladie cœliaque ne peuvent pas en profiter car elle contient du gluten.

Une saveur étonnante

La levure maltée n’est autre que de la levure de bière, additionnée de malt d’orge.

Ce qui lui donne une saveur plus douce que la levure de bière classique. Disponible dans les magasins bio ou au rayon bio des supermarchés, elle se présente sous forme de petits flocons de couleur jaune doré.

Et si elle est devenue un ingrédient indispensable de la cuisine végane, c’est pour son goût, qui rappelle celui du fromage. Sur une soupe de légumes, une salade verte, une assiette de crudités ou un plat de pâtes, elle se parsème ici et là, au gré des envies.

Mixée avec des noix de cajou ou des amandes mondées, elle se transforme en parmesan 100 % végétal.

Recette de parmesan végétal à la levure maltée

Elle peut également s’intégrer dans de nombreuses recettes. Mélangée à une grosse cuillère de purée d’amandes, elle se métamorphose en sauce crémeuse au bon goût de fromage, idéale pour réaliser de délicieux risottos.

Associée à du tofu soyeux ou à de la crème de riz, elle fera tout autant son effet. Et pourquoi ne pas l’intégrer dans l’appareil d’une quiche veggie ? Elle apportera une douce saveur fromagère.

En touche finale, saupoudrée sur la surface, elle forme une couche dorée et croustillante sur les tartes et les gratins ! Mais attention, une fois passée au four, elle perd toutes ses qualités nutritionnelles.

La levure de bière maltée est aussi utilisée pour assaisonner certaines préparations, comme les galettes de légumes et les pâtés végétaux. Ce serait dommage de s’en priver, non ?

Secrets de beauté

La levure de bière ne manque pas d’atouts.

Elle est souvent conseillée en cure, pour lutter contre les cheveux fragiles ou contre les ongles cassants. Ses propriétés purifiantes et anti-bactériennes en font aussi un ingrédient idéal pour la cosmétique maison. Mélangée à un peu d’eau et quelques gouttes d’huile végétale, elle se transforme en masque idéal pour lutter contre les peaux grasses.

Fatigué.e, chute de cheveux, ongles fragiles ou cassants, régime végétarien ou végan …. ? Je peux vous apporter des conseils personnalisés ! N’hésitez pas à me contacter sur cette page ?

Source

Les soupes, faites-en tout un plat

Un bouillon d’épluchures, légumes et œuf coque

Le bouillon a trois vertus : sa technique de cuisson est facile et se décline à l’infini, peu de matériel et d’espace sont nécessaires, un choix d’ingrédients économes et de saison y font des merveilles ! Voici notre premier bouillon en deux actes : l’infusion des épluchures et le rissolage des légumes. L’œuf à la coque est la cerise sur le gâteau.

Ingrédients pour 6 assiettes généreuses :
1 oignon
2 petites échalotes
4 carottes
2 poireaux moyens
1 gousse d’ail à peine écrasée sous la lame d’un couteau
2 feuilles de laurier
1,5 l d’eau
¼ c. à c. de sel
½ c. à c. de quatre-épices (poivre blanc, muscade, clou de girofle et gingembre)
Pour en faire tout un plat
Et plus si affinités ?
1 œuf coque

De belles tranches de pain de seigle pour les mouillettes (à beurrer ou pas)

Des bâtonnets de radis noir ou violet (vous les avez déjà goûtés trempés dans l’œuf à la coque ?)
Au choix pour le bouillon : poivre, thym, badiane, écorce de cannelle, piment, verveine séchée, concentré de tomate…

Brossez oignon, échalotes et carottes sous l’eau pour enlever toute trace de terre. Une attention particulière pour le poireau : le sable s’intégrant dans ses jupons au fil de la pousse, il doit être fendu en deux sur deux tiers de sa hauteur avant d’être lavé à grandes eaux. Retirez la barbe, les feuilles extérieures et la partie vert foncé, que vous rassemblez avec les autres épluchures. Épluchez et coupez les extrémités de l’oignon, des échalotes et des carottes. Réservez les extrémités. Hachez finement les épluchures pour qu’elles puissent révéler leurs ressources ignorées dans le bouillon. Coupez les parties nobles des poireaux et des carottes en tronçons, l’oignon et les échalotes en deux.

Dans une grande cocotte, versez l’eau et ajoutez les extrémités, les épluchures hachées, la gousse d’ail et les feuilles de laurier. Ajoutez le sel et la demi-cuillère de quatre-épices. Faites frémir tout doux pour des goûts subtils, ou cuire à bouillons impétueux pour développer de la puissance, pendant une bonne heure. Filtrez le bouillon et laissez-le patienter à température ambiante.

Dans deux cuillères à soupe de beurre clarifié (plus adapté à la cuisson car dépourvu de caséine et du lactosérum) ou dans de l’huile végétale, mettez à rissoler sur feu moyen les tronçons de poireaux et de carottes, oignons, échalotes, idéalement dans une sauteuse (ses bords hauts permettent de ramener de la vapeur sur les légumes). Salez. Retournez les légumes régulièrement pendant une vingtaine de minutes. Ils doivent être à peine dorés, confits comme des bonbons.

Épluchez et émincez le radis à la mandoline. Grillez le pain et coupez les tranches en mouillettes.

Les œufs coque

Portez l’eau à ébullition, plongez les œufs 4 minutes pile et décapitez. Pour une version végétalienne : remplacez l’œuf coque par 50 g de quinoa, de boulghour ou de flocons d’avoine, à ajouter au bouillon une fois filtré.

Finaliser le festin

Dans de grandes assiettes, disposez ces bijoux de légumes avec grâce et versez par-dessus le bouillon chaud filtré. Servez avec un œuf coque par convive. Accompagnez de mouillettes et de tranches de radis pour varier les goûts et les textures.

Courge, haricots et riz noir, zeste d’orange et crème

Deux techniques de cuisson sont utilisées pour donner sa sapidité à ce potage complet. La première consiste à faire rissoler ail et gingembre à feu vif, dans un peu de matière grasse, pour exprimer leurs saveurs caramélisées. La deuxième – une cuisson douce et longue – sert à attendrir légumes, légumineuses et féculents, et diffuser leurs saveurs.

Ingrédients pour 6 assiettes généreuses :
Version express : 300 g de haricots cuits, noirs ou rouges
Version slow food : 80 g de haricots noirs secs, cuits 45 min (après 12 à 24 h de trempage dans 3 fois leur volume en eau)
50 g de riz noir rond ou sauvage
400 g de potimarron
1 gousse d’ail, épluchée, émincée
3 cm de gingembre frais, épluché et émincé
1,5 l de bouillon de légumes (ou 2 à 3 cubes dilués dans 1 l d’eau)
Huile de cuisson : arachide, pépin de raisin…
1 zeste d’orange bio
Assaisonnement
Et plus si affinités ?
50 g de crème double ou de crème d’amande

Les feuilles de 2 branches de fenouil sauvage, d’aneth ou d’estragon

1 citron vert

Sel
Pour le bouillon : ½ étoile de badiane, curcuma en poudre, un peu de fève tonka râpée, quelques pistils de safran

Pour la crème : 1 c. à c. d’harissa ou de piment fumé

La soupe-à-manger

Brossez le potimarron sous l’eau. Coupez-le en deux pour en retirer les graines et débitez sa chair en cubes d’environ 2 cm, en gardant sa peau qui est comestible. Faites rissoler l’ail émincé et le gingembre dans un peu l’huile pendant cinq minutes sur feu vif. Ajoutez un peu de piment si vous l’aimez. Mouillez ensuite avec le bouillon, ajoutez le zeste d’orange et le riz. Au bout de trente minutes, ajoutez les haricots égouttés et les cubes de potimarron. Oubliez encore une demi-heure sur le coin du feu.

Mélanger les brins de fenouil ciselés (ou autres fines herbes) à la crème. Salez.

Rafraîchissez cette soupe-à-manger ardente avec la crème, quelques brins de fenouil ciselés et un trait de citron vert.

Crème de riz et chou-fleur, au jus et aux restes de poulet

Avis aux amateurs de poulet rôti ! Os et carcasse sont l’essence du bouillon de cette recette, et ils donneront une seconde vie aux restes de votre poulet du dimanche. Les amateurs s’en lècheront les babines tandis que les végétariens remplaceront ce jus par du bouillon de légumes ou de miso. Le chou-fleur, comme d’autres membres de la famille des crucifères, romanesco ou brocoli, forme un couple idéal avec le riz, riche en amidon, pour donner tout son velouté à cette crème.

Ingrédients pour 4 à 6 amateurs :
1 carcasse et les os d’un poulet bio (rôti et consommé)
Garniture de récup’ : vert de poireau, tiges de persil, feuilles de céleri branche
1 oignon
1 carotte
2 feuilles de laurier
Sel et quelques grains de poivre concassés
50 g de riz rond
1 chou-fleur adolescent, ni trop grand, ni trop petit
Quelques pincées de noix de muscade râpée
En accompagnement
Et plus si affinités ?
Les petites chairs de la carcasse de poulet (ne soyons pas les-sots-qui-les-y-laissent !)
Grains de cumin torréfiés
Quelques branches de romarin
2 c. à s. d’huile d’olive
1 c. à c. de mélasse de grenade ou de vinaigre balsamique

Retirez toutes les petites chairs restantes de la carcasse et réservez. Assemblez les os dans une cocotte. Couvrez d’eau et ajoutez la garniture de récup’ lavée et ciselée, l’oignon et la carotte hachés menu, les feuilles de laurier et les grains de poivre concassés. Salez. Laissez l’essence du bouillon se révéler à petit frémissement, pendant disons une petite heure. En même temps, faites cuire le chou-fleur entier au-dessus du bouillon, à la vapeur. Filtrez le bouillon.

Versez dans le bouillon filtré une pluie de riz rond. Laissez mijoter à partir du frémissement une petite demi-heure. Ajoutez le chou-fleur, hormis quelques sommités que vous gardez pour le dressage, et mixez. Ajustez l’assaisonnement.

Dans une poêle à feu vif, faites sauter les petits morceaux de poulet avec du romarin. Salez, poivrez ou épicez au gré de vos envies. Déglacez à la mélasse de grenade ou au vinaigre balsamique.

Répartissez la crème dans les assiettes creuses. Ajoutez les sommités de chou-fleur cuit et saupoudrez d’une épice de votre choix. Servez le poulet caramélisé à picorer entre deux cuillerées de crème.

Merci à La Ruche Qui Dit Oui pour ces excellentes recettes ?

Courge spaghetti à la bolognaise végétale

Pour ce plat vegan, sans gluten, sans lactose, il vous faudra pour 4 personnes :

125g protéines de soja texturées
600g courge spaghetti
2 oignons
3 gousses d’ail
800ml de coulis de tomates
40cl d’eau
2 càs d’origan
du persil et du basilic
sel, poivre
4 càs d’huile d’olive

Préparation :
1. Hachez les oignons et émincez l’ail. Réservez-en une partie pour les courges spaghetti.
2. Dans une cocotte à fond épais, faites-les revenir à feu doux dans 2 càs d’huile d’olive, jusqu’à ce que les oignons soient translucides. Ajoutez l’origan, le sel, le poivre et mélangez.
3. Ajoutez les protéines de soja et l’eau. Les protéines vont gonfler au contact de l’eau.
4. Lorsque l’eau est absorbée, ajoutez le coulis de tomates. Faites cuire à feu très doux, à couvert, en remuant régulièrement pendant 30′, en ajoutant un peu d’eau si besoin.
5. Pendant ce temps, prélevez les courges spaghetti. Hachez grossièrement le persil et le basilic. Chauffez 2 càs d’huile dans une casserole et faites revenir l’ail pendant 2′ à feu moyen. Ajoutez les spaghettis et les herbes, puis poursuivez la cuisson 2 à 3′, jusqu’à ce que les légumes soient tendres.
6. Servez les spaghettis de courgettes avec la bolognaise végétale.

Vous pouvez faire gratiner l’ensemble quelques minutes sous le gril du four :
– avec du fromage râpé pour une version végétarienne
– avec des graines, de la levure de bière, de la poudre de noisettes pour une version végan.

Bon appétit !!!

Et pour plus de conseils en cuisine saine mais gourmande, en plantes, huiles essentielles et hygiène de vie : contactez-moi ?

Un gâteau pour le sport au potiron

Ce gâteau pour le sport au potiron est digeste, équilibré, et peut se concevoir en repas pré-compétitif.

Il peut se consommer jusqu’à 1h30 avant l’effort, en y associant évidemment une bonne hydratation.

Ingrédients

  • 300g potiron cuit
  • 150g farine T80 minimum
  • 2 Œufs (1 jaune et 2 blancs)
  • 50g de sucre
  • 50g poudre d’amande (ou poudre de noisettes)
  • 50g flocons d’avoine (ou de riz, de millet) trempés
  • 1 cuil. à soupe de cannelle en poudre
  • 1 sachet de levure chimique (ou 1 càc bombée bicarbonate de soude + 1 càs vinaigre de cidre)

Préparation

  • La veille, faites tremper les flocons dans un peu de lait végétal ou d’eau pour les imbiber.
  • Cuire à la vapeur le potiron coupé en cubes, puis écrasez le à la fourchette en purée.
  • Égoutter la purée de potiron au moins 2 heures.
  • Le jour même : dans un saladier, mélanger successivement la purée de potiron égouttée, le sucre, la farine, le jaune d’œuf, la cannelle, la levure.
  • Monter les blancs en neige et les incorporer doucement (en soulevant) à la préparation précédente.
  • Graissez un moule à cake. Versez la pâte et cuire 45 min au four à 160-180°C (thermostat 6). Une fois sorti du four, ne démoulez le gâteau qu’après refroidissement complet.

On peut aussi rajouter de la poudre de cacao à 100% pour donner une touche chocolatée ?, dans ce cas 1 à 2 càs suffisent (selon votre goût).

Il n’y a plus qu’à se régaler ! ?

Si vous souhaitez des conseils personnalisés sur la nutrition du sport, n’hésitez pas à me contacter ?

Source

#MoisSansTabac : et si j’arrêtais de fumer ?

Depuis 2016, le #MoisSansTabac revient tous les ans en novembre. Découvrez ce programme et comment la naturopathie peut venir en complément pour vous aider à arrêter une fois pour toutes. En effet, l’hypnose, la sophrologie, la phyto et l’aromathérapie peuvent vous aider à décrocher naturellement.

#MoisSansTabac 2021 : comment s’inscrire ?

Pendant un mois, vous allez être « chouchouté ». Comment se lancer ? C’est très simple. L’inscription est gratuite. Il suffit :

  • de se signaler sur la plateforme Tabac info Service,
  • ou d’appeler le 3989 (service gratuit + coût d’un appel, du lundi au samedi de 8 h à 20 h) ,
  • ou de télécharger l’appli d’e-coaching de Tabac info service
  • ou d’intégrer une communauté sur Facebook, Instagram ou Twitter

Que contient le kit anti-tabac ?

Le kit anti-tabac se présente sous la forme d’un programme d’aide à l’arrêt, avec 10 jours de préparation et 30 jours d’accompagnement.

Décider d’arrêter de fumer en sollicitant l’inconscient grâce à l’hypnose

L’hypnose nous ancre dans un état modifié de conscience, entre l’éveil et l’endormissement. Elle vise non seulement à instaurer un dialogue avec l’inconscient, à le stimuler, mais aussi à substituer certains comportements au tabagisme. « Quand on fume, on se trouve face à un paradoxe : le conscient sait qu’il faut arrêter de fumer parce que c’est néfaste pour notre santé, mais l’inconscient nous pousse à fumer pour nous protéger psychologiquement. L’objectif est de résoudre ce conflit intérieur en mettant le conscient et l’inconscient du même côté par un travail de suggestions« , explique Mike Fink, hypnothérapeute spécialisé dans l’arrêt du tabac.

En favorisant le dialogue avec notre inconscient, l’hypnose permet de réduire le sentiment de privation et de manque. Elle permet d’entretenir la motivation grâce au changement de paradigme et de renforcer la concentration sur les bienfaits du sevrage. Il s’agit d’une thérapie brève : « on agit sur le problème à sa racine, et on peut, en une séance, supprimer l’envie de fumer, indique le spécialiste. Et d’ajouter : certains patients peuvent avoir besoin de deux ou trois séances, mais c’est plutôt rare ». Des séances d’auto-hypnose peuvent être proposées en complément pour renforcer le sevrage.

Cette méthode peut être utilisée en complément d’autres techniques naturelles, voire de substituts nicotiniques. Elle s’adresse à tout type de fumeur et ne souffre pas de contre-indications, mis à part chez certains patients au profil psychotique (schizophrénie, paranoïa, etc). L’hypnose n’est pas remboursée dans le cadre de l’arrêt du tabac, mais certaines mutuelles proposent des forfaits facilitant l’accès aux « thérapies alternatives » (nombre de séances limitées).

Faire appel à l’imaginaire grâce à la sophrologie pour conforter le sevrage tabagique

Pratiquée en amont du sevrage tabagique, sur le moyen ou long terme, « la sophrologie permet aux non-fumeurs en devenir de prendre du recul pour faire face au manque de nicotine« , explique le Dr Marie-Andrée Auquier, médecin généraliste et sophrologue. Et d’ajouter : « L’idée n’est pas de remplacer une cigarette par une séance lorsqu’une envie pressante se fait sentir, mais de travailler sur soi et de se rappeler qu’on est libre de faire ses propres choix, en conscience”. 

L’objectif des séances est de déculpabiliser le patient et de lui redonner confiance : « On transforme un projet plutôt négatif : ‘je veux arrêter de fumer’ en un projet constructif : ‘J’ai envie de prendre soin de moi, de ma peau, de mes poumons, de retrouver le goût, etc ». Le fumeur peut être invité à se projeter dans l’avenir grâce à des exercices de visualisation : « à quoi ressemblerais-je dans un an, libéré.e de cette mauvaise habitude ? ». Le ou la sophrologue peut aussi proposer des exercices de conscience corporelle : « on invite le patient à voyager dans ses poumons, sa gorge, etc pour conscientiser la souffrance de ses cellules. La décision d’arrêter la cigarette (et de s’y tenir) viendra ainsi du corps et non du cerveau”.

La sophrologie s’inscrit plutôt dans une prise en charge générale : elle peut être associée à d’autres techniques dites « naturelles », mais aussi à des substituts nicotiniques. Mieux vaut faire appel à un professionnel pour débuter le sevrage. « Puis, les séances de sophrologie en groupe ou, à défaut, les séances en autonomie, peuvent fonctionner », précise le Dr Auquier. Elle convient à tout type de fumeurs, excepté en cas de pathologies psychiatriques (mis à part la dépression). Elle n’est pas remboursée dans le cadre de l’arrêt du tabac, mais certaines mutuelles proposent des forfaits facilitant l’accès aux thérapies alternatives (nombre de séances limitées). 

La phytothérapie et l’aromathérapie pour favoriser la désaccoutumance au tabac

Ni l’efficacité de la phytothérapie, ni celle de l’aromathérapie n’ont encore été validées scientifiquement dans le cadre du sevrage tabagique. Ces techniques ne peuvent pas, à proprement parler, permettre l’arrêt du tabac. Cependant, elles restent une thérapeutique de choix pour remédier au syndrome du sevrage tabagique.

Phytothérapie : quelles plantes pour aider pendant et après le sevrage tabagique ?

« Certaines plantes peuvent être d’un grand secours pour travailler sur la dépendance et vaincre le réflexe pavlovien qui commande à l’organisme une dose quotidienne de nicotine », indique Françoise Couic-Marinier, docteure en pharmacie spécialiste en aromathérapie et en phytothérapie. Parmi les plus courantes : 

  • Le kudzu (pueraria lobata). La racine de cette plante venue d’extrême-orient est très plébiscitée pour sa richesse en flavonoïdes et phytostérols. Elle permet à l’organisme de s’adapter en situation de stress, possède des vertus apaisantes, détoxifiantes, antioxydantes, et favorise l’aversion au tabac. « On la consomme généralement en gélules (deux à trois par jour, selon les dosages des marques), de préférence pendant les repas, avec un grand verre d’eau, préconise la spécialiste. Puis on diminue petit à petit les doses (cure d’un à trois mois). » 

Par précaution, la prise prolongée de kudzu est déconseillée aux enfants, aux femmes enceintes et allaitantes. Elle est également contre-indiquée sur le long terme en cas d’antécédents familiaux de cancer du sein ou de kystes ovariens (en raison de sa teneur en isoflavones). Enfin, cette plante pourrait interagir avec certains médicaments : par précaution, tournez-vous vers un professionnel qui vous aiguillera selon votre situation.

  • La valériane (comme de nombreuses plantes anxiolytiques) agit sur l’équilibre nerveux et permet d’induire un dégoût physique du tabac en lui donnant mauvais goût. À consommer de préférence en gélules (2 gélules de 100 mg, matin et soir, pendant au moins quatre à six semaines). En tisane, comme dans d’autres indications (anxiété, troubles du sommeil, etc), la valériane peu être très écœurante. À consommer une à trois fois par jour, sachant qu’elle est déconseillée aux femmes enceintes ou allaitantes et aux enfants de moins de 12 ans.
  • La rhodiole (rhodiola rosea) permet aux fumeurs de s’adapter aux situations émotionnelles stressantes. Elle augmenterait la biodisponibilité de la sérotonine et permettrait d’atténuer les symptômes de sevrage (anxiété, irritabilité, etc). À consommer de préférence à jeun, trente minutes avant de manger, matin et midi, car elle peut provoquer des insomnies si elle est prise en soirée. La rhodiole est déconseillée aux femmes enceintes et allaitantes, aux personnes souffrant de maladies rénales, de diabète ou de cirrhose. 
  • Le ginseng indien (ashwagandha), les fleurs de Bach, la griffonia, le millepertuis ou la stevia peuvent également aider les fumeurs à stopper leur consommation grâce à leur action anti-dépressive.  

Aromathérapie : quelles huiles essentielles pour aider pendant et après le sevrage tabagique ?

Les huiles essentielles (HE) peuvent aider à fluidifier les sécrétions bronchiques, à expectorer les dépôts (notamment nicotiniques), mais aussi agir sur le stress et l’irritabilité. On les utilise principalement par voie respiratoire : en inhalation humide, en inhalation sèche ou en diffusion atmosphérique (pas plus de 5-10 minutes par pièce avant d’aérer). « Dans le cadre du sevrage tabagique, la meilleure option est le stick inhalateur, préconise le Dr Couic-Marinier. Il permet de remédier instantanément à l’envie de fumer et de conserver la gestuelle du fumeur ».

  • « Les HE les plus plébiscitées sont extraites d’agrumes, notamment l’HE de yuzu (autrefois appelée citrus junos). On peut aussi miser sur l’HE d’orange, l’HE de mandarine, ou l’HE de pamplemousse, anorexigène, qui limite les pulsions », précise la spécialiste. Appliquez quelques gouttes sur un stick inhalateur ou un mouchoir dès que l’on vous vous sentez prêt.e à craquer.  
  • Sur un mouchoir, en inhalation humide ou sur un stick, les HE de petit grain bigaradier, de marjolaine ou de lavande permettent aussi de réduire le stress occasionné par le sevrage.

Le Dr Couic-Marinier nous livre une recette aroma efficace contre l’envie de fumer. Sur la mèche d’un stick ou sur un mouchoir, versez : 8 gouttes d’HE de cannelle de Ceylan (pour couper la muqueuse olfactive responsable des envies) + 5 gouttes d’HE de girofle (pour couper la muqueuse olfactive responsable des envies) + 5 gouttes d’HE de camomille romaine(pour une relaxation intense) + 5 gouttes d’HE de marjolaine coquille (pour la bonne humeur). À noter, cette formule est contre-indiquée chez les femmes enceintes, allaitantes, les enfants de moins de 12 ans, les épileptiques, les personnes souffrant d’hypertension artérielle non contrôlée.

  • En diffusion, on peut miser sur des huiles essentielles comme le sapin, le pin sylvestre ou l’eucalyptus pour entretenir un environnement olfactif favorable au sevrage.

L’aromathérapie peut aussi être associée à l’hypnose olfactive. « On associe des odeurs à certaines sensations, explique le Dr Couic-Marinier. On demande au patient quelle odeur le dégoûte profondément (l’eucalyptus par exemple), puis, grâce à l’hypnose, on associe le goût ou l’odeur de la cigarette à celle de l’eucalyptus. Les résultats sont imparables ».

L’aromathérapie et la phytothérapie peuvent être utilisées en complément d’autres méthodes « anti-tabac ». Elles ne sont pas prises en charge par l’Assurance maladie, cependant, elles peuvent être inclues dans les packs « bien-être » ou « médecines alternatives » de certaines mutuelles. Rappel : afin d’éviter toute contre-indication ou effet secondaire liés aux HE ou aux plantes, il est vivement conseillé de consulter un professionnel.

L’acupuncture, une alliée efficace pour arrêter de fumer définitivement

Issue de la médecine traditionnelle chinoise, l’acupuncture consiste à apposer des aiguilles très fines au niveau de points précis du corps, afin d’harmoniser et d’équilibrer toutes les fonctions du Qi (l’ »énergie vitale »). Cette médecine douce n’est pas encore reconnue scientifiquement pour traiter le tabagisme, mais elle est largement indiquée et ses résultats parlent d’eux-mêmes.

« L’acupuncture a des vertus de relaxation, d’harmonisation des souffles et de vitalité, tant sur le plan physique que psychique », indique le Dr Gilles Andrès, médecin acupuncteur et président de l’Association française d’acupuncture. Selon les techniques employées, les aiguilles sont plantées sur différents méridiens énergétiques (notamment au niveau de l’oreille, ou des arêtes du nez, etc).

« Ce n’est pas parce qu’on appose beaucoup d’aiguilles que les résultats sont meilleurs. L’important est de bien cibler la problématique du patient et ses motivations, estime le spécialiste. L’acupuncture a un effet certain pour favoriser le sevrage tabagique, mais ne fait pas tout. Sans réelle motivation, les résultats seront moindres », ajoute-t-il. La première séance agit comme un interrupteur, qui coupe le circuit de la dépendance. Selon la technique employée, une ou deux séances peuvent être nécessaires. « Mais au-delà de cinq ou six séances, il ne faut pas insister, c’est que l’on n’est pas réceptif à la technique ».

L’acupuncture peut être combinée à d’autres méthodes pour arrêter de fumer, comme la sophrologie, l’hypnose ou la méditation. Elle ne présente pas de contre-indication et n’est pas remboursée par la Sécurité sociale dans le cadre d’un sevrage tabagique. Certaines mutuelles proposent toutefois des forfaits spécifiques prenant en charge cette médecine dite « alternative ». Rendez-vous sur le site de l’association française d’acupuncture pour trouver un praticien reconnu.

Quelle que soit la méthode que vous privilégiez, pensez à vous hydrater suffisamment pendant le sevrage. Une tisane, un thé, un verre d’eau… Cela vous permettra non seulement de faire passer l’envie de cigarette, mais favorisera aussi l’élimination des toxines par votre organisme. 

Sources : 

Moelleux chocolat et potimarron

Une recette de pure gourmandise, mais quand même plus légère que la recette traditionnelle de moelleux car sans beurre et avec beaucoup moins de sucre.

Ingrédients pour 6 personnes

  • 1 potimarron
  • 200g de chocolat noir 70%
  • 40g de farine de châtaigne
  • 40g de sucre complet
  • 3 œufs
  • 1 cuillère à café d’huile d’olive
  • 1 pincée de sel

NB : vous n’aurez pas besoin de tout le potimarron dans la recette mais vous pourrez utiliser les restes sous forme de gratin, purée ou soupe !

Etapes

1

Commencez par préparer la purée de potimarron. Brossez le potimarron, coupez le deux, enlevez les graines et la partie fibreuse. Coupez les moitiés en petits cubes et faites-les cuire à la vapeur ou à l’eau pendant 15 à 20 minutes. Égouttez puis mixez les morceaux ou écrasez-les au presse-purée.

2

Préchauffez votre four à 180°C. Puis, faites fondre le chocolat au bain marie.

3

Mélangez 125g de purée de potimarron avec le sucre cassonade, le sel et les œufs battus.

4

Ajoutez le chocolat fondu et incorporez délicatement la farine de châtaigne.

5

Versez la pâte dans un moule huilé et fariné, puis enfournez et faites cuire pendant 20 minutes à 180°C. Vérifiez la cuisson à l’aide d’une lame de couteau qui doit ressortir propre. Dégustez tiède, c’est encore meilleur !

Merci Yuka pour cette recette !

Soupe de courge musquée, pois chiches et courgettes

Voici une soupe bien réconfortante et nourrissante, parfaite pour un déjeuner comme un dîner. Un plat de saison avec les dernières courgettes que l’on trouve sur nos étals. Les courges sont des bombes nutritionnelles, abusez-en ? Quant aux pois chiches, si vous me suivez régulièrement, vous savez pourquoi les intégrer dans votre alimentation. Et pour toute question, n’hésitez pas à me contacter !

Préparation : 15 min / Cuisson : 1 h / 6 portions

Ingrédients

  • 1 courge musquée 900 g
  • 6 c. à soupe huile d’olive 90 ml
  • 1 gros oignon 300 g
  • 3 courgettes 400 g
  • Pois chiches cuits 1,25 l
  • Bouillon de légumes 750 ml
  • Yaourt grec nature 750 g
  • 1 c. à café de poudre de curry
  • Sel et poivre

Méthode

  1. Préchauffer le four à 190 °C.
  2. Couper la courge en deux sur la longueur, retirer les graines. Placer les demi-courges sur une plaque, côté coupé vers le bas, et cuire environ 45 à 50 minutes jusqu’à ce qu’elles soient tendres. Laisser tiédir, découper la chair en cubes de 1,5 cm et réserver.
  3. Chauffer l’huile dans une casserole à feu moyen. Ajouter l’oignon haché grossièrement, les courgettes coupées en dés et le curry. Cuire 2 à 3 minutes en brassant jusqu’à attendrissement.
  4. Ajouter la courge, les pois chiches rincés et égouttés et le bouillon. Cuire à feu moyen jusqu’à ce que les courgettes soient tendres, environ 10 minutes.
  5. Réduire en purée au robot et vérifier l’assaisonnement.
  6. Verser le potage dans des bols, ajouter le yaourt et servir.

Merci Plantes et Santé

Tarte à la tomate, moutarde et basilic

Une tarte très faible en gluten avec une pâte maison, réalisée en moins de 10 minutes : c’est possible ! Voici une recette super facile de tarte à la tomate, moutarde et basilic frais. Grâce à la farine de petit épeautre, la pâte est riche en fibres, contient très peu de gluten et a un indice glycémique bas.

Ingrédients (4 personnes)

  • 4 tomates
  • 140g de farine de petit-épeautre
  • 40g de poudre d’amande
  • 5cl d’eau
  • 1 poignée de pignons de pins
  • 1 c.s de moutarde
  • Quelques feuilles de basilic
  • Ail semoule, herbes de Provence, sel, poivre
  • Optionnel : 1 c.c de sirop d’érable

Etapes

Étape 1

1

Préchauffez le four à 180°C. Pour réaliser la pâte, mélangez dans un bol la farine avec la poudre d’amande, l’eau, de l’ail semoule, des herbes de Provence, du sel et du poivre.

Étape 2

2

À l’aide d’un rouleau à pâtisserie, étalez la pâte afin de former un cercle d’environ 0,5cm d’épaisseur (pas trop fin). Si besoin, ajoutez un peu de farine pour ne pas que ça colle de trop. Étalez la moutarde sur la surface de la pâte.

Étape 3

3

Lavez les tomates et coupez-les en rondelles. Disposez-les sur la pâte à environ 5 cm du bord. Une fois disposées, recouvrez les tomates en rabattant les bords de la pâte. Enfournez environ 30 minutes. Optionnel : ajoutez un filet de sirop d’érable sur les tomates pour les caraméliser.

Étape 4

4

Une fois votre tarte cuite, salez et poivrez puis ajoutez quelques feuilles de basilic frais et des pignons de pin.

Bon appétit ?

Merci Yuka

Houmous de lentilles aux noix

Voici une recette de saison, que l’on peut déguster le matin sur une tartine de pain de seigle ou de pain complet au levain ; vous serez bien calé jusqu’au déjeuner ! Ce houmous peut aussi être servi le soir, en complément d’une soupe de légumes, pour un dîner léger mais équilibré.

Ingrédients : 6 Pers.

  • 300 g de lentilles vertes ou blondes
  • 1 gousse d’ail
  • 1 jus d’un citron fraîchement pressé
  • 2 grosses c. à soupe de purée de sésame (tahin)
  • 3 c. à soupe d’huile d’olive
  • 1 poignée de poudre de noix
  • 2 pincées de cumin en poudre
  • 1 pincée de piment de Cayenne
  • sel, poivre

Préparation :

  • 1. Faire cuire les lentilles dans un grand faitout rempli d’eau froide pendant 30 min à partir de l’ébullition. Une fois cuites, égouttez les lentilles dans une passoire, puis laissez-les refroidir. Pendant ce temps, pelez et écrasez l’ail.
  • 2. Quand les lentilles ont refroidi, placez-les avec tout le reste des ingrédients dans le bol d’un robot mixeur, puis mixez pendant plusieurs secondes jusqu’à obtenir une purée bien lisse et homogène. Goûtez la purée, puis rectifiez l’assaisonnement en sel, en poivre et en épices si besoin.
  • 3. Versez le houmous de lentilles aux noix dans un bol, puis placez-le au frais jusqu’au service. Dégustez bien frais accompagné de pain pita.

Source

Gratin végétalien de patates douces

La patate douce a naturellement un index glycémique modéré, plus que celui de la pomme de terre (malgré son petit goût sucré très agréable !). Sans produit laitier animal, ce gratin parfumé et épicé ravira toutes les papilles !

Préparation 10 minutes / Cuisson 35 minutes /Repos 8 heures / 6 portions

Ingrédients

• 4 patates douces/sucrées (700 g)
• 1 oignon et 2 gousses d’ail (200 g)
• 1 c. à soupe d’huile végétale (15 ml)
• 1/4 c. à café de cannelle en poudre (1 g)
• 1/4 de tasse de noix de cajou  ( 40 g)
• 1/3 de tasse de levure alimentaire ( 50 g)
• 2/3 de tasse de lait de coco non sucré (170 ml)
• 1 tasse de boisson de soja non sucrée (250 ml)
• 3/4 de c. à café d’origan séché ( 0,4 g)
• Sel, poivre

Avant de commencer

Tremper les noix 8 heures, pour obtenir une pâte crémeuse.

Méthode

1. Préchauffer le four à 205°C. Couper l’oignon en rondelles; émincer l’ail; éplucher les patates puis les couper en tranches.
2. Faire revenir l’oignon et l’ail dans l’huile. Ajouter la cannelle, saler et poivrer au goût. Réserver.
3. Mélanger les noix, la levure et quelques cuillerées de lait de coco dans un robot environ 3 minutes.
4. Préparer le gratin dans une assiette allant au four, en disposant les ingrédients dans l’ordre suivant: patates, mélange d’oignon, crème de noix. Répéter les couches si nécessaire. Dans un bol, mélanger le lait de coco restant avec le lait de soja et l’origan, puis verser le tout sur le gratin.
5. Cuire au four jusqu’à ce que ce soit bien doré, environ 30-35 minutes.
6. Laisser reposer le gratin une dizaine de minutes. Servir.

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Merci Plantes & Santé